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Trois jeunes Mauriciens égorgent un cheval pour s’amuser

Autant vous le dire tout de suite. Je déconseille FORTEMENT aux âmes sensibles de regarder la vidéo accompagnant cet article! Ce qu'on y voit dépasse l'entendement! Il s'agit d'images tournées à l'île Maurice, apparemment avec un téléphone portable, sur lesquelles on assiste ni plus ni moins qu'à la mise à mort d'un cheval pur sang, apparemment par trois jeunes, pour s'amuser...

Ecrit par Pierrot Dupuy – le dimanche 21 septembre 2008 à 18H17

La scène est d’une cruauté extrême!
Au moins trois jeunes, vraisemblablement des Mauriciens puisqu’on les entend distinctement parler en créole mauricien, égorgent un cheval devant l’œil d’une caméra.
Tandis que l’un pratique une profonde entaille au cou de l’animal à l’aide d’un sabre, un autre le tient par les rênes et l’oblige à marcher, tandis que le troisième filme la scène.
Le pire est qu’à plusieurs reprises sur le clip d’une minute et 27 secondes, on entend les jeunes rire et prendre manifestement plaisir à leur acte de barbarie.
Dans un premier temps, les autorités mauriciennes ont tenté d’étouffer l’affaire. Elles ont encore en souvenir la campagne de protestation mondiale qu’il y avait eu après l’affaire des soi-disant chiens vivants donnés en appâts aux requins, à la Réunion. Et aux conséquences sur l’image de notre île.
Mais internet est par définition incensurable, et la vidéo fait actuellement déjà le tour du monde, alors même qu’elle n’a été postée pour la première fois qu’hier matin.
Et les réactions ne se sont pas faites attendre. Des associations étrangères militant pour la protection des animaux ont attiré l’attention de la Mauritius Society for the Prevention of Cruelty to Animals (MSPCA) sur l’affaire et menacent même de démarrer une campagne contre l’île Maurice si les auteurs de ces actes ne sont pas arrêtés et des sanctions prises contre eux.
La police a démarré une enquête et un site internet mauricien annonce que les auteurs de cet acte monstrueux -dont on voit clairement le visage de deux d’entre eux- pourraient se rendre de leur propre initiative, demain, aux policiers.
Affaire à suivre, donc…

 

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