
Télo n'attendra pas le dernier jour de février
"Nous avons été livrés à 10h de 127 bouteilles, il en reste 67 une demi-heure plus tard", résume ce chef de caisse de la station Engen de Ravine Balthazar de la Possession.
Au comptoir, Télo, un retraité habitué de cette station, est venu échanger sa bouteille vide. "Je n'en ai qu'une seule, il valait mieux venir aujourd'hui car en plus y'a que 28 jours en février", fait-il remarquer aux têtes en l'air.
A quelques kilomètres de là, en entrée de ville de La Possession, la station Tamoil a également dû faire face à une demande démesurée depuis vendredi. "On avait 70 bouteilles restantes pour le week end, tout est parti", explique la gérante, alors qu'"en temps normal, il nous en reste toujours un peu pour le lundi matin".
Ludovic, pompiste, relève ce cas exceptionnel de ce client qui, hier dimanche, a déchanté en se rendant à la station "avec six bouteilles dans le coffre. Si on en avait, on aurait vendu". Tous ces commerçants l'assurent : il n'y a aucune limitation de vente par personne contrairement à certaines rumeurs qui prêtaient aux professionnels l'intention d'en livrer le moins possible en attendant le 1er mars. "Tant qu'on en a, on vend", confirme clairement le caissier de cette station Engen.
140 bouteilles vendues vendredi contre 50 d'habitude
"Si la personne vient avec ses bouteilles vides ou alors achète une consigne complète avec le capuchon, il n'y a pas de souci", assure-t-il. Ce matin, seules trônent à côté des pompes à essence des bonbonnes vides. "Le camion de ravitaillement doit passer à 11h", précise l'employé. Il ne sera pas trop tôt pour répondre à l'afflux.
Le mot de la fin revient à la station Engen. Il donne la mesure de la situation. "En temps normal, nous vendons 40 à 50 bouteilles jour. Vendredi, 140 sont parties", explique le caissier. Il faut dire que ce jour-là, l'annonce d'une hausse de 7 euros venait d'être ébruitée.
Au comptoir, Télo, un retraité habitué de cette station, est venu échanger sa bouteille vide. "Je n'en ai qu'une seule, il valait mieux venir aujourd'hui car en plus y'a que 28 jours en février", fait-il remarquer aux têtes en l'air.
A quelques kilomètres de là, en entrée de ville de La Possession, la station Tamoil a également dû faire face à une demande démesurée depuis vendredi. "On avait 70 bouteilles restantes pour le week end, tout est parti", explique la gérante, alors qu'"en temps normal, il nous en reste toujours un peu pour le lundi matin".
Ludovic, pompiste, relève ce cas exceptionnel de ce client qui, hier dimanche, a déchanté en se rendant à la station "avec six bouteilles dans le coffre. Si on en avait, on aurait vendu". Tous ces commerçants l'assurent : il n'y a aucune limitation de vente par personne contrairement à certaines rumeurs qui prêtaient aux professionnels l'intention d'en livrer le moins possible en attendant le 1er mars. "Tant qu'on en a, on vend", confirme clairement le caissier de cette station Engen.
140 bouteilles vendues vendredi contre 50 d'habitude
"Si la personne vient avec ses bouteilles vides ou alors achète une consigne complète avec le capuchon, il n'y a pas de souci", assure-t-il. Ce matin, seules trônent à côté des pompes à essence des bonbonnes vides. "Le camion de ravitaillement doit passer à 11h", précise l'employé. Il ne sera pas trop tôt pour répondre à l'afflux.
Le mot de la fin revient à la station Engen. Il donne la mesure de la situation. "En temps normal, nous vendons 40 à 50 bouteilles jour. Vendredi, 140 sont parties", explique le caissier. Il faut dire que ce jour-là, l'annonce d'une hausse de 7 euros venait d'être ébruitée.

Ludovic : "Nos 70 bouteilles sont toutes parties ce week end"