Jean-Jacques Carpaye, président de l’ACTQF, comme à chaque marche sur le feu, partage son temps entre Pont-Malheur, pour surveiller la “cuisson” du feu, et la Petite rivière Saint-Jean, pour suivre la fabrication des trois Karlons.
“Ces karlons représentent les trois divinités traditionnelles de la marche sur le feu : Karly, Marliémen et Pandialee”, indique Rieul Latchoumy, membre de l’association.
Ces “coiffes” réalisées à partir de bâtons, des feuilles de lilas, et de “marlés” (colliers) de fleurs rouges pour Karly, blanches pour Marliémen et jaunes pour Pandialee, seront portées à tête d’homme tout le long de la procession.
Ce “karlon” d’un poids de 15 à 20 kg parfois, sera toujours sur la tête du pénitent lorsqu’il traversera le tapis de braise d’une longueur de 5,40 m (18 pas). Cet hommage à la déesse à laquelle est dédiée sa dévotion et sa ferveur “peut être un remerciement pour l’année écoulée ou une demande de soutien pour une année qui s’annonce difficile”.
“C’est un héritage des engagés, arrivés à La Réunion, ils ont tenu à répéter les rites de l’Inde. Nous, les descendants des Indiens, nous perpétuons à notre tour, cette tradition”, a dit Rieul Latchoumy.
“Ces karlons représentent les trois divinités traditionnelles de la marche sur le feu : Karly, Marliémen et Pandialee”, indique Rieul Latchoumy, membre de l’association.
Ces “coiffes” réalisées à partir de bâtons, des feuilles de lilas, et de “marlés” (colliers) de fleurs rouges pour Karly, blanches pour Marliémen et jaunes pour Pandialee, seront portées à tête d’homme tout le long de la procession.
Ce “karlon” d’un poids de 15 à 20 kg parfois, sera toujours sur la tête du pénitent lorsqu’il traversera le tapis de braise d’une longueur de 5,40 m (18 pas). Cet hommage à la déesse à laquelle est dédiée sa dévotion et sa ferveur “peut être un remerciement pour l’année écoulée ou une demande de soutien pour une année qui s’annonce difficile”.
“C’est un héritage des engagés, arrivés à La Réunion, ils ont tenu à répéter les rites de l’Inde. Nous, les descendants des Indiens, nous perpétuons à notre tour, cette tradition”, a dit Rieul Latchoumy.