"Il y a eu des promesses faites pour calmer tout le monde, mais j’ai toujours dit que ce n’était pas vrai" affirme Didier Hoareau, président de l’Organisation des Transporteurs Indépendants.
Et dans les faits, si le chantier de la NRL a bien repris le 15 septembre comme annoncé par le président de Région, les transporteurs eux sont toujours à l’arrêt:
"Pour que les transporteurs reprennent il faut déplacer tous les accropodes et démonter les poussoirs, il y en a pour un mois et demi voire deux mois dans le meilleur des cas" explique le représentant syndical.
Et dans les faits, si le chantier de la NRL a bien repris le 15 septembre comme annoncé par le président de Région, les transporteurs eux sont toujours à l’arrêt:
"Pour que les transporteurs reprennent il faut déplacer tous les accropodes et démonter les poussoirs, il y en a pour un mois et demi voire deux mois dans le meilleur des cas" explique le représentant syndical.
Selon lui, les transporteurs se retrouvent sans perspective d’activité avant au moins le mois de novembre, c’est pourquoi ils demandent aujourd’hui au groupement attributaire du chantier de la NRL (GTOI-SBTPC-Vinci) d’accélérer les travaux et de faire du stockage : "pour que nous en attendant on ne reste pas sans rien faire".
Il y a trois semaines, les transporteurs et le groupement avaient trouvé un accord sur le prix du transport de matériaux destinés à être stocké en attendant que tout redémarre :
"Ça concernait une petite commande pour un morceau qu’il restait à finir sur D3. Mais une fois ce morceau terminé, ils nous ont lâchés. On avait un engagement pour la suite, pour faire du stockage, à un prix qu’on avait déjà fixé, mais non aujourd’hui ça ne tient plus. Voilà notre colère, voilà pourquoi on est là", explique Hubert Ponapin président du syndicat SRTT.
Le mouvement pourrait se durcir si les transporteurs n’obtiennent pas satisfaction à l’issue de cette rencontre, mais Didier Hoareau l’assure: "On ne bloquera pas la route".
Mais la menace d'une grève illimitée devant le siège du groupement a tout de même été lancée par Jean-Bernard Caroupaye, également présent.
Il y a trois semaines, les transporteurs et le groupement avaient trouvé un accord sur le prix du transport de matériaux destinés à être stocké en attendant que tout redémarre :
"Ça concernait une petite commande pour un morceau qu’il restait à finir sur D3. Mais une fois ce morceau terminé, ils nous ont lâchés. On avait un engagement pour la suite, pour faire du stockage, à un prix qu’on avait déjà fixé, mais non aujourd’hui ça ne tient plus. Voilà notre colère, voilà pourquoi on est là", explique Hubert Ponapin président du syndicat SRTT.
Le mouvement pourrait se durcir si les transporteurs n’obtiennent pas satisfaction à l’issue de cette rencontre, mais Didier Hoareau l’assure: "On ne bloquera pas la route".
Mais la menace d'une grève illimitée devant le siège du groupement a tout de même été lancée par Jean-Bernard Caroupaye, également présent.