Gaëlle, 27 ans, est une personne trans. Si le genre masculin lui a été attribué à la naissance, Gaëlle s’est questionnée dès l’enfance sur son identité, sans trouver de réponse ni dans son entourage, ni dans les médias.
“Je n’avais que le regard de mes parents, qui n’était pas celui de l’acception à 100%. Pendant très longtemps, j’avais la vision des personnes trans dans des émissions de télévision où on les tournait au ridicule, et je ne me voyais pas comme quelqu’un de ridicule. Je suis une personne sérieuse et je ne me reconnaissais pas dans l'image qu'apportaient les médias sur la transidentité”, explique-t-elle.
Gaëlle a affirmé son identité au fur et à mesure, en se faisant entourer par ses amis proches. “Je me suis demandée si je voulais vivre pour moi ou pour les autres. Je me suis choisie. (...) J'appréhendais la réaction de mes amis, ça s’est bien passé”, confie-t-elle.
La jeune femme trans, qui a été mise en garde à plusieurs reprises quant à son avenir, vit aujourd’hui pleinement son identité tout en travaillant dans le domaine paramédical, et corrélant vit amoureuse et vie sociale épanouie.
“On m’a toujours dit 'mais comment vas-tu faire pour réussir dans la vie ?' La plus grande réussite, c’est déjà être soi-même et rien n’empêche que vous vous épanouissiez dans tous les domaines alors que vous êtes une personne trans".
Elle conseille à toute personne qui se pose des questions sur son genre et la transidentité de se rapprocher des associations où elles pourront trouver écoute, conseils et accompagnement.
“Vous n’êtes pas seuls, si vous parlez, vous trouverez quelqu’un pour vous écouter. Prenez votre temps”, souffle-t-elle tout en adressant un message aux personnes faisant partie de l'entourage d'une personne trans : “On ne peut pas être la personne dans sa situation, mais on peut l’écouter, entendre ce qu’elle a à dire, en faire une réalité parce que c’est sa réalité et qu’il n’y a pas à la confronter”, conclut-elle.
“Je n’avais que le regard de mes parents, qui n’était pas celui de l’acception à 100%. Pendant très longtemps, j’avais la vision des personnes trans dans des émissions de télévision où on les tournait au ridicule, et je ne me voyais pas comme quelqu’un de ridicule. Je suis une personne sérieuse et je ne me reconnaissais pas dans l'image qu'apportaient les médias sur la transidentité”, explique-t-elle.
Gaëlle a affirmé son identité au fur et à mesure, en se faisant entourer par ses amis proches. “Je me suis demandée si je voulais vivre pour moi ou pour les autres. Je me suis choisie. (...) J'appréhendais la réaction de mes amis, ça s’est bien passé”, confie-t-elle.
La jeune femme trans, qui a été mise en garde à plusieurs reprises quant à son avenir, vit aujourd’hui pleinement son identité tout en travaillant dans le domaine paramédical, et corrélant vit amoureuse et vie sociale épanouie.
“On m’a toujours dit 'mais comment vas-tu faire pour réussir dans la vie ?' La plus grande réussite, c’est déjà être soi-même et rien n’empêche que vous vous épanouissiez dans tous les domaines alors que vous êtes une personne trans".
Elle conseille à toute personne qui se pose des questions sur son genre et la transidentité de se rapprocher des associations où elles pourront trouver écoute, conseils et accompagnement.
“Vous n’êtes pas seuls, si vous parlez, vous trouverez quelqu’un pour vous écouter. Prenez votre temps”, souffle-t-elle tout en adressant un message aux personnes faisant partie de l'entourage d'une personne trans : “On ne peut pas être la personne dans sa situation, mais on peut l’écouter, entendre ce qu’elle a à dire, en faire une réalité parce que c’est sa réalité et qu’il n’y a pas à la confronter”, conclut-elle.
