Il y a un mot que Michel Vergoz se plaît à utiliser dans l'hémicycle du Conseil régional : “pragmatisme”. La lettre du Premier ministre François Fillon, brandie par le président de la Région Réunion, Paul Vergès, ne laisse aucun doute sur la réponse de l'Etat quant à la dotation ferroviaire.
“L'Etat a déjà dit non pour la dotation ferroviaire. Nicolas Sarkozy, président de la République, et François Fillon, Premier ministre, nous l'ont écrit. Je sais lire. Les Réunionnais savent lire, il n'y a plus rien à espérer, surtout que c'est un gouvernement qui est aux abois, qui est en train de faire des coupes sombres généralisées”.
“Il faut bien le reconnaître l'Etat a dit non le 1er décembre 2009, donc prenons acte, cessons de perdre du temps sur une hypothétique subvention ferroviaire qui viendrait par je ne sais par quel enchantement du gouvernement Sarkozy. Le président de la République qui était à La Réunion, ne nous a pas donné quelque espérance, là-dessus. Donc, c'est terminé”.
“L'Etat a déjà dit non pour la dotation ferroviaire. Nicolas Sarkozy, président de la République, et François Fillon, Premier ministre, nous l'ont écrit. Je sais lire. Les Réunionnais savent lire, il n'y a plus rien à espérer, surtout que c'est un gouvernement qui est aux abois, qui est en train de faire des coupes sombres généralisées”.
“Il faut bien le reconnaître l'Etat a dit non le 1er décembre 2009, donc prenons acte, cessons de perdre du temps sur une hypothétique subvention ferroviaire qui viendrait par je ne sais par quel enchantement du gouvernement Sarkozy. Le président de la République qui était à La Réunion, ne nous a pas donné quelque espérance, là-dessus. Donc, c'est terminé”.