
Les faits remontent à 2017: les gendarmes mettent le grappin sur un immense trafic de zamal à Sainte-Suzanne. Ils avaient interpellé le 3 mai 2017, Emile, 47 ans, son frère François, 53 ans, et du fils de ce dernier, Roann, un jeune de 23 ans.
Alors qu'il prétendait vivre du RSA et des allocations familiales, Emile Cerveau a en réalité établi un véritable réseau familial en s'appuyant sur un réseau d'agriculteurs, qui permettaient ainsi de fournir en grande quantité de zamal.
Mais après un an, lui, ses proches et et les agriculteurs ont tous été condamnés ce vendredi au tribunal de Champ Fleuri.
Le trafic aurait débuté en 2013 et aurait rapporté entre 4 000 et 5 000 euros par mois. "Il revendait l'herbe au moins deux fois plus cher qu'il ne la payait", précise le JIR.
Lors de la perquisition l'an passé, les gendarmes avaient découvert "vingt sacs d'herbe séchée d'un poids total de 108 kilos cachés dans les plafonds, 3 800 euros en liquide mais aussi plusieurs armes. Ils avaient également saisi un fourgon Peugeot Boxer, une Golf Volskwagen, un scooter MBK, des VTT dernier cri, des tablettes et ordinateurs portables ou encore du matériel hi-fi".
La substitut du procureur Emmanuelle Carniello confie également à la barre que "c'est un dossier dans lequel il n'est pas question de grammes, mais de kilos de zamal!".
Elle avait ainsi demandé cinq ans de prison ferme et 20 000 euros d'amende pour Emile Cerveau, qui a finalement écopé de deux ans de prison avec mandat de dépôt.
Alors qu'il avait été demandé deux ans de prison, sa compagne, quant à elle, qui a profité du trafic, a écopé d'un an avec sursis. Son frère a finalement été condamné à 18 mois de prison avec sursis et son fils à 15 mois de prison avec sursis. Tous ont une amende de plus de 2 000 euros.
Quant aux planteurs, fournisseurs, le Cilaosien d'Ilet à Cordes avait déjà condamné en 2005 pour trafic de zamal. Bien qu'ingénieux en utilisant un terrain de l'ONF, ce dernier a tout de même été condamnée à quatre ans de prison dont deux ferme. Sa femme a également écopé d'un an avec sursis. L'agriculteur de Trois-Bassins, également connu de la justice, a écopé de 20 mois de prison.
Le plus étonnant dans l'histoire est ce sapeur-pompier de Sainte-Marie. Il a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et 3 000 euros d'amende. Pour rappel, tous les véhicules et autres biens saisis ont tous été confisqués.
Alors qu'il prétendait vivre du RSA et des allocations familiales, Emile Cerveau a en réalité établi un véritable réseau familial en s'appuyant sur un réseau d'agriculteurs, qui permettaient ainsi de fournir en grande quantité de zamal.
Mais après un an, lui, ses proches et et les agriculteurs ont tous été condamnés ce vendredi au tribunal de Champ Fleuri.
Le trafic aurait débuté en 2013 et aurait rapporté entre 4 000 et 5 000 euros par mois. "Il revendait l'herbe au moins deux fois plus cher qu'il ne la payait", précise le JIR.
Lors de la perquisition l'an passé, les gendarmes avaient découvert "vingt sacs d'herbe séchée d'un poids total de 108 kilos cachés dans les plafonds, 3 800 euros en liquide mais aussi plusieurs armes. Ils avaient également saisi un fourgon Peugeot Boxer, une Golf Volskwagen, un scooter MBK, des VTT dernier cri, des tablettes et ordinateurs portables ou encore du matériel hi-fi".
La substitut du procureur Emmanuelle Carniello confie également à la barre que "c'est un dossier dans lequel il n'est pas question de grammes, mais de kilos de zamal!".
Elle avait ainsi demandé cinq ans de prison ferme et 20 000 euros d'amende pour Emile Cerveau, qui a finalement écopé de deux ans de prison avec mandat de dépôt.
Alors qu'il avait été demandé deux ans de prison, sa compagne, quant à elle, qui a profité du trafic, a écopé d'un an avec sursis. Son frère a finalement été condamné à 18 mois de prison avec sursis et son fils à 15 mois de prison avec sursis. Tous ont une amende de plus de 2 000 euros.
Quant aux planteurs, fournisseurs, le Cilaosien d'Ilet à Cordes avait déjà condamné en 2005 pour trafic de zamal. Bien qu'ingénieux en utilisant un terrain de l'ONF, ce dernier a tout de même été condamnée à quatre ans de prison dont deux ferme. Sa femme a également écopé d'un an avec sursis. L'agriculteur de Trois-Bassins, également connu de la justice, a écopé de 20 mois de prison.
Le plus étonnant dans l'histoire est ce sapeur-pompier de Sainte-Marie. Il a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et 3 000 euros d'amende. Pour rappel, tous les véhicules et autres biens saisis ont tous été confisqués.