Antonio Rodrigues, soupçonné d’être le cerveau d’un réseau de trafic de Rivotril opérant depuis Madagascar, a été mise en examen vendredi pour importation de substances illicites.
Déjà très connu de la justice, l’homme a été présenté hier au palais de justice de Champ-Fleuri, tout comme sa femme.
L’enquête sur ce trafic avait débuté en septembre, lorsqu’une sexagénaire avait été interpellée à Gillot avec plus de 4 000 comprimés de Rivotril en sa possession. Fin octobre, c’était une autre mule qui avait été interceptée toujours à Gillot. Une dernière mule, la compagne d’Antonio Rodrigues, faisait aussi partie de ce réseau de passeuses.
Après sa mise en examen, Antonio Rodrigues a été écroué.
Déjà très connu de la justice, l’homme a été présenté hier au palais de justice de Champ-Fleuri, tout comme sa femme.
L’enquête sur ce trafic avait débuté en septembre, lorsqu’une sexagénaire avait été interpellée à Gillot avec plus de 4 000 comprimés de Rivotril en sa possession. Fin octobre, c’était une autre mule qui avait été interceptée toujours à Gillot. Une dernière mule, la compagne d’Antonio Rodrigues, faisait aussi partie de ce réseau de passeuses.
Après sa mise en examen, Antonio Rodrigues a été écroué.