Au tour d'Irshad A., un Portois, de passer dans le cabinet de la juge des libertés et de la détention ce vendredi après-midi. Le jeune mécanicien de 26 ans est suspecté d'avoir joué un rôle dans le trafic de stupéfiants démantelé au début de cette semaine. En lien avec Karim B, la tête de réseau et le cerveau présumé des opérations de blanchiment et du trafic, Irshad A.aurait encaissé des mandats cash contre une commission.
Les deux hommes se seraient rencontrés dans le cadre de petites réparations à effectuer sur des véhicules d'occasion de luxe. Irshad A. aurait donné des coups de main dans ce domaine qu'il connaît bien. C'est aussi pour dépanner qu'il aurait accepté de s'occuper de quelques mandats.
Ce vendredi, la juge des libertés et de la détention a choisi de faire confiance au trentenaire, titulaire d'un CDI, inséré et inconnu de la justice. Irshad A. a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter La Réunion et d'entrer en contact avec les personnes inquiétées dans cette affaire. Il devra se présenter tous les samedis au commissariat du Port sous peine de finir à la maison d'arrêt de Domenjod.
Les deux hommes se seraient rencontrés dans le cadre de petites réparations à effectuer sur des véhicules d'occasion de luxe. Irshad A. aurait donné des coups de main dans ce domaine qu'il connaît bien. C'est aussi pour dépanner qu'il aurait accepté de s'occuper de quelques mandats.
Ce vendredi, la juge des libertés et de la détention a choisi de faire confiance au trentenaire, titulaire d'un CDI, inséré et inconnu de la justice. Irshad A. a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter La Réunion et d'entrer en contact avec les personnes inquiétées dans cette affaire. Il devra se présenter tous les samedis au commissariat du Port sous peine de finir à la maison d'arrêt de Domenjod.
Lundi prochain, c'est Karim B. qui verra son sort scellé en attendant la suite des investigations. Celui-ci est soupçonné d'avoir embarqué dans son trafic ses deux compagnes successives, dont une bien connue du grand public en tant qu'influenceuse et chroniqueuse télé à La Réunion. Les deux jeunes femmes, placées pour l'instant sous contrôle judiciaire, auraient été à la tête de sociétés d'import-export de véhicules de luxe, un prétexte pour blanchir l'argent du trafic et faciliter des transferts d'argent.
Le nom de plusieurs cols blancs figurerait dans l'épais dossier qui se trouve depuis deux ans dans les mains d'une juge d'instruction dionysienne. Et notamment des personnes bien placées pour faciliter l'entrée des véhicules de luxe à La Réunion en vue de leur revente.
"Une vague d'interpellations pourrait encore avoir lieu ", a indiqué la vice-procureure de la République ce vendredi ainsi que l'audition de témoins susceptibles de faire aboutir l'enquête et d'envisager des poursuites pénales pour l'ensemble des protagonistes.
Le nom de plusieurs cols blancs figurerait dans l'épais dossier qui se trouve depuis deux ans dans les mains d'une juge d'instruction dionysienne. Et notamment des personnes bien placées pour faciliter l'entrée des véhicules de luxe à La Réunion en vue de leur revente.
"Une vague d'interpellations pourrait encore avoir lieu ", a indiqué la vice-procureure de la République ce vendredi ainsi que l'audition de témoins susceptibles de faire aboutir l'enquête et d'envisager des poursuites pénales pour l'ensemble des protagonistes.