Pourtant, le ministère de l’Intérieur comorien s’est fendu d’un communiqué indiquant que les autorités veulent identifier le ou les auteurs. L’appel à la violence et les menaces “constituent des actes sévèrement punis sur le plan pénal”, rappellent les autorités. Ainsi, elles sont “pleinement mobilisées pour identifier les auteurs de ces tracts et leurs complices éventuels”.