L’Urban Cruiser est un véhicule à quatre roues motrices, gage de tenue de route et de transmission impeccable au sol. Mais l’allure générale de l’Urban attire le regard de par ses passages de roues élargies ou de son capot surdimensionné.
Avec en plus une ligne caisse placée haut, tout est fait pour lui donner une allure de baroudeur et rappeler le grand frère (Land…) A l’intérieur on retrouve l’ambiance de
Les indications de vitesse et de régime moteur sont rassemblées en un seul cadran qui permet de tout cibler en même temps. L’ergonomie est au rendez vous, on pourra juste regretter l’absence de volant multifonctions, on veut bien être un peu baroudeur mais avec les commandes au volant Monsieur Toyota… A noter que l’option existe mais pas localement…
La sellerie est bien réalisée avec en particulier une banquette arrière bénéficiant de plusieurs positions quant au réglage du dossier, pratique pour les plus grands. Le coffre est modulable avec une accessibilité conséquente tant par l’ouverture du hayon que par le seuil de chargement.
La boite de vitesse est précise et agréable, la transmission intégrale permet d’envisager (presque !) toutes les fantaisies tant la tenue de route est bonne. Le moteur diesel du modèle essayé affiche une belle santé sur le couple de 2 000 à 3 500 tours, ceci permettant largement de rouler aux vitesses autorisées.
L’Urban Cruiser est importé en deux motorisations. L’une essence de 1,4L pour 97cv, 21 500 euros et l’autre diesel avec le 1,4L D4D de 90cv à 23 500 euros. Ces deux versions étant toutes équipées (climatisation, verrouillage centralisé à télécommande, vitres électriques…) avec même un bonus écologique de 200 euros.