
Dans une déclaration exclusive, Didier Robert nous a annoncé mardi soir que la Région et le Département étaient parvenus à un accord en vue d'attribuer une prime de 1.000 euros à 10.000 métropolitains tirés au sort, dès la fin de la crise du coronavirus.
Cette somme sera attribuée sous la forme d'un carnet de 50 chèques de 20 euros, comparable aux carnets de tickets-restaurant.
Elle ne pourra être dépensée que pour l'achat d'un billet d'avion, dans des hôtels, restaurants, taxis ou encore dans des activités de loisirs de La Réunion.
Selon Didier Robert, "cette somme de 10 millions d'euros doit être considérée comme un investissement. Nous faisons le pari que chaque métropolitain(e) qui viendra à La Réunion fera le déplacement accompagné de son conjoint. Et peut-être de ses enfants. Sachant qu'un touriste dépense en moyenne plus de 800 euros localement lors de son séjour, nous comptons sur cet investissement pour relancer l'industrie touristique de l'ile, qui a été sinistrée avec cette crise du coronavirus".
Quant à Cyrille Melchior, il a insisté sur le risque de voir une multitude de petites entreprises et d'artisans disparaitre : "Cette crise intervient après celles des requins et des Gilets jaunes. Si nous n'avions pas agi de la sorte, c'est la première industrie de La Réunion, qui pèse plus d'emplois que la canne, qui aurait risqué de disparaitre complètement. Et 20 ans de travail qui seraient partis en fumée".
Les deux hommes politiques sont tombés d'accord pour apporter tout leur soutien aux professionnels du secteur du tourisme, durement touchés par cette crise.
Cette somme sera attribuée sous la forme d'un carnet de 50 chèques de 20 euros, comparable aux carnets de tickets-restaurant.
Elle ne pourra être dépensée que pour l'achat d'un billet d'avion, dans des hôtels, restaurants, taxis ou encore dans des activités de loisirs de La Réunion.
Selon Didier Robert, "cette somme de 10 millions d'euros doit être considérée comme un investissement. Nous faisons le pari que chaque métropolitain(e) qui viendra à La Réunion fera le déplacement accompagné de son conjoint. Et peut-être de ses enfants. Sachant qu'un touriste dépense en moyenne plus de 800 euros localement lors de son séjour, nous comptons sur cet investissement pour relancer l'industrie touristique de l'ile, qui a été sinistrée avec cette crise du coronavirus".
Quant à Cyrille Melchior, il a insisté sur le risque de voir une multitude de petites entreprises et d'artisans disparaitre : "Cette crise intervient après celles des requins et des Gilets jaunes. Si nous n'avions pas agi de la sorte, c'est la première industrie de La Réunion, qui pèse plus d'emplois que la canne, qui aurait risqué de disparaitre complètement. Et 20 ans de travail qui seraient partis en fumée".
Les deux hommes politiques sont tombés d'accord pour apporter tout leur soutien aux professionnels du secteur du tourisme, durement touchés par cette crise.