
Le constat est clair, la Réunion a perdu 35% de réservations, par rapport à 2011, sur la période correspondante aux émeutes. Un chiffre clé et donné par l'IRT (Ile de la Réunion Tourisme) après recoupement des informations auprès des professionnels du secteur. "On va devoir monter une cellule de crise", explique Pascal Viroleau, directeur de l'IRT
Concrètement, ce sont 1.100 touristes qui ne sont pas passés par l'aéroport sur la période du 22 au 25 février, correspondant aux différents débordements qui ont touché plusieurs communes de l'île. Le tableau dressé par certains médias nationaux n'a pas été flatteur pour la Réunion ces derniers jours, contrastant fortement avec l'image que peuvent se faire les touristes métropolitains, comme étrangers, de notre île.
L'IRT a prévu d'activer les grands moyens en relançant "plusieurs campagnes de communication", souligne Pascal Viroleau, dès la semaine prochaine. Pour le moment, seule la fréquentation sur la période entre le 22 et le 25 février est connue, et le directeur de l'IRT tient à rappeler qu'il n'y a pas de "risques" pour les touristes souhaitant se rendre à la Réunion.
Concrètement, ce sont 1.100 touristes qui ne sont pas passés par l'aéroport sur la période du 22 au 25 février, correspondant aux différents débordements qui ont touché plusieurs communes de l'île. Le tableau dressé par certains médias nationaux n'a pas été flatteur pour la Réunion ces derniers jours, contrastant fortement avec l'image que peuvent se faire les touristes métropolitains, comme étrangers, de notre île.
L'IRT a prévu d'activer les grands moyens en relançant "plusieurs campagnes de communication", souligne Pascal Viroleau, dès la semaine prochaine. Pour le moment, seule la fréquentation sur la période entre le 22 et le 25 février est connue, et le directeur de l'IRT tient à rappeler qu'il n'y a pas de "risques" pour les touristes souhaitant se rendre à la Réunion.