
Zinfos974: Cette édition du Tour Auto, est-elle votre première?
Laurence Mezino: Non, c'est la 6e fois que je participe au Tour Auto. L'année dernière je suis arrivée 30e, environ, je ne m'en souviens plus. Je suis confiante cette année parce qu'il faut l'être. L'objectif c'est toujours de mieux rouler et d'évoluer. Je veux aussi faire plaisir à mon mari, Olivier, et à mon assistance.
Comment est née cette passion?
J'ai toujours aimé les jolies voitures avec des moteurs intéressants. Mais je n'ai jamais eu pour projet de faire du rallye; ce n'était même pas concevable. C'est la passion de mon mari que j'ai commencé à partager avec lui, petit à petit. Je ne sais pas trop comment, je suis d'abord devenue sa copilote. Nous avons conduit une 205, une 306 et puis il a préparé sa propre voiture, une 207 R3, rien que pour moi. Je la conduis, mais c'est lui qui gère tout ce qu'il y a autour, à savoir le côté technique de la voiture, les sponsors et le management en général.
On me demande souvent comment on peut aimer ce sport en tant que femme. C'est la vitesse, le fait de chercher plus loin, de dépasser les limites...
Avez-vous peur parfois?
Je suis un peu anxieuse avant de commencer une course, mais une fois lancée il n'y a plus que l’adrénaline et le cœur qui bât vite... et je commence à vraiment m'amuser quand je suis dedans. Mais il faut être préparé pour ne pas avoir trop de doutes. La première étape de ce rallye, les Trois Bancs à la Montagne à Saint-Denis, par exemple, est piégeuse.
Laurence Mezino: Non, c'est la 6e fois que je participe au Tour Auto. L'année dernière je suis arrivée 30e, environ, je ne m'en souviens plus. Je suis confiante cette année parce qu'il faut l'être. L'objectif c'est toujours de mieux rouler et d'évoluer. Je veux aussi faire plaisir à mon mari, Olivier, et à mon assistance.
Comment est née cette passion?
J'ai toujours aimé les jolies voitures avec des moteurs intéressants. Mais je n'ai jamais eu pour projet de faire du rallye; ce n'était même pas concevable. C'est la passion de mon mari que j'ai commencé à partager avec lui, petit à petit. Je ne sais pas trop comment, je suis d'abord devenue sa copilote. Nous avons conduit une 205, une 306 et puis il a préparé sa propre voiture, une 207 R3, rien que pour moi. Je la conduis, mais c'est lui qui gère tout ce qu'il y a autour, à savoir le côté technique de la voiture, les sponsors et le management en général.
On me demande souvent comment on peut aimer ce sport en tant que femme. C'est la vitesse, le fait de chercher plus loin, de dépasser les limites...
Avez-vous peur parfois?
Je suis un peu anxieuse avant de commencer une course, mais une fois lancée il n'y a plus que l’adrénaline et le cœur qui bât vite... et je commence à vraiment m'amuser quand je suis dedans. Mais il faut être préparé pour ne pas avoir trop de doutes. La première étape de ce rallye, les Trois Bancs à la Montagne à Saint-Denis, par exemple, est piégeuse.

Participez-vous à d'autres compétitions?
C'est une activité régulière depuis 8 ans. Je participe à environ cinq événements par an. En début d'année j'ai couru le rallye de Saint-Joseph dans lequel j'ai fini 19e, et en septembre il y aura les "1.000 kilomètres" au Tampon.
Institutrice et mère de deux enfants âgés de 8 et 10 ans: La vie est bien remplie?
Je n'ai pas le temps de m'ennuyer! Mais il faut que ça avance... La famille, le travail et le rallye. Quand j'ai un petit moment de calme, je prends le temps de l'apprécier. Mais il faut bien dormir la nuit!
C'est une activité régulière depuis 8 ans. Je participe à environ cinq événements par an. En début d'année j'ai couru le rallye de Saint-Joseph dans lequel j'ai fini 19e, et en septembre il y aura les "1.000 kilomètres" au Tampon.
Institutrice et mère de deux enfants âgés de 8 et 10 ans: La vie est bien remplie?
Je n'ai pas le temps de m'ennuyer! Mais il faut que ça avance... La famille, le travail et le rallye. Quand j'ai un petit moment de calme, je prends le temps de l'apprécier. Mais il faut bien dormir la nuit!