Une jeune fille de 23 ans a été condamnée à 201 heures de travaux d’intérêt général pour apologie du terrorisme sur Twitter, deux jours après les attentats de Paris. En novembre 2015, elle s’est exprimée sur le réseau social en copie-collant » allez-y, on aime la mort, mais ne pleurez pas quand on viendra avec nos ceintures « .
Questionnée par Dominique Piot, présidente du tribunal correctionnel de Toulouse, elle a affirmé qu’elle ne voyait » aucun mal » à copier un article trouvé sur internet. Son avocat a fait valoir un casier judiciaire vierge en affirmant qu’il s’agissait d’ « une bêtise » de sa cliente.
Les 140 caractères avaient été signalés par un autre utilisateur à la plateforme spécialisée dans les contenus illicites de la Police nationale.