Nouvelle manifestation du personnel des urgences du CHU de St-Pierre ce mercredi matin. Soutenus par la CFTC, infirmiers, aides soignants, médecins et administratifs ont débrayé avant de s’inviter dans le bureau du directeur Patrick Goyon.
L’entretien n’a rien donné de probant. "Nous allons récupérer les locaux du service psychiatrie mais pour cela nous devons attendre 2 ans. En attendant nous avons proposé d’installer des mobil-homes. L’idée sera soumise au prochain comité hygiène, sécurité et conditions de travail (CHSCT) mais il a été reporté à une date ultérieure ", déplore Eddie Dijoux, infirmier et responsable syndical pour la CFTC.
"Il en va pourtant de la sécurité des patients et des personnels". Ces derniers fonctionnent à flux tendu régulièrement. Le "plan d’urgence sous tension" déclenché lorsque le service atteint le seuil critique du 140e passage, est ainsi de "manière récurrente et quasi quotidienne activé", insiste Eddie Dijoux.
Dans leur combat, les personnels mobilisés ont reçu le soutien du maire du Tampon. André Thien Ah Koon partage le constat édifiant de la situation des urgences et "regrette de ne pas siéger au conseil d’administration".
L’entretien n’a rien donné de probant. "Nous allons récupérer les locaux du service psychiatrie mais pour cela nous devons attendre 2 ans. En attendant nous avons proposé d’installer des mobil-homes. L’idée sera soumise au prochain comité hygiène, sécurité et conditions de travail (CHSCT) mais il a été reporté à une date ultérieure ", déplore Eddie Dijoux, infirmier et responsable syndical pour la CFTC.
"Il en va pourtant de la sécurité des patients et des personnels". Ces derniers fonctionnent à flux tendu régulièrement. Le "plan d’urgence sous tension" déclenché lorsque le service atteint le seuil critique du 140e passage, est ainsi de "manière récurrente et quasi quotidienne activé", insiste Eddie Dijoux.
Dans leur combat, les personnels mobilisés ont reçu le soutien du maire du Tampon. André Thien Ah Koon partage le constat édifiant de la situation des urgences et "regrette de ne pas siéger au conseil d’administration".