Thierry Robert a posté un article sur sa page Facebook en début de soirée affirmant qu’il a été victime d’un attentat… à la roue percée ! Tout au moins est-ce une des hypothèses qu’il envisage : « Intimidation, malveillance ou agression ?« , même si on sent bien dans le texte qui suit que c’est la dernière hypothèse qu’il privilégie…
Je le cite : « Hier soir, j’étais l’invité du journal télévisé d’Antenne Réunion. En quittant le site et après quelques minutes de route, je me suis rendu compte qu’un de mes pneus était à plat. Je suis allé au rendez-vous que j’avais prévu dans la capitale mais ensuite j’ai préféré par prudence ne plus rouler avec cette voiture. Le véhicule a donc été déposé à Saint-Denis en attendant de faire le changement de pneu le lendemain. Un problème de voiture anodin me direz-vous. Sauf que ce matin, le garagiste a clairement identifié 2 vis plantées selon ses dires « volontairement » dans mon pneu avant droit. 2 vis insérées dans une même roue par un tiers ! C’est tout bonnement un acte de malveillance, pour lequel je vais d’ailleurs déposer une main courante. Qui sait ce qui aurait pu m’arriver si j’avais continué à rouler jusqu’à Saint-Leu avec ce pneu rendu volontairement défectueux ? Pourquoi, au nom de quoi, au nom de qui mener des opérations aussi vicieuses et d’une telle bassesse ? La question mérite d’être posée d’autant qu’il est évident que je gêne certaines personnes dans l’île. Seulement, je tiens à rappeler ici ma détermination à faire avancer La Réunion, à me battre pour les intérêts des Réunionnais. Je déplore ces exactions qui renvoient aux temps sombres de la politique « broquette » mais elles ne me feront pas abandonner le combat que je mène au quotidien pour mon île« .
Des pneus crevés, même avec des vis, ça arrive tous les jours. Ca m’est même arrivé.
De là à en déduire que ces vis ont été plantées volontairement, c’est déjà franchir un pas de géant dans les hypothèses. Mais alors, d’imaginer qu’on est victime d’une agression, on atteint le summum.
Un conseil, M. le député-maire : Allez en urgence consulter un bon psychiatre. A votre stade, c’est peut-être encore guérissable !