Direction Vérines pour Thierry Robert…L'ancien député-maire de Saint-Leu est actuellement entendu dans les locaux de la caserne dionysienne pour avoir dénoncé, en septembre 2017, à propos de la subvention de 2 millions d'euros accordée par la Région au Journal de l'île, une politique de "gros blanc". Une information révélée par nos confrères de Freedom.
L'ancien parlementaire avait critiqué le 2 septembre 2017 sur sa page Facebook et sur les ondes de Kréol FM et de RSL la politique de "copains coquins" de la Région Réunion. "C'est une politique de gros blanc, il faut arrêter cette politique là", avait notamment déploré Thierry Robert.
Pour ces propos, une plainte avait été déposée la semaine suivante par la direction générale du Journal de l'île pour provocation à la haine raciale.
Peu après midi, Thierry Robert est ressorti de la caserne Vérines. Il campe sur ses positions : "Mon combat premier, c'est de tout faire pour que cette politique de gros blanc cesse"."Je n'ai aucune honte à dénoncer cela. Je n'arrêterai de dénoncer cette politique de gros blanc que lorsque je serai mort", a-t-il commenté. Thierry Robert dit n'avoir aucun regret : "ce genre de choses est aujourd'hui en train de pourrir La Réunion".
L'ancien député-maire n'a pas été placé en garde à vue, "c'est déjà un bon point", a-t-il souligné.
Laurence Gilibert sur place
L'ancien parlementaire avait critiqué le 2 septembre 2017 sur sa page Facebook et sur les ondes de Kréol FM et de RSL la politique de "copains coquins" de la Région Réunion. "C'est une politique de gros blanc, il faut arrêter cette politique là", avait notamment déploré Thierry Robert.
Pour ces propos, une plainte avait été déposée la semaine suivante par la direction générale du Journal de l'île pour provocation à la haine raciale.
Peu après midi, Thierry Robert est ressorti de la caserne Vérines. Il campe sur ses positions : "Mon combat premier, c'est de tout faire pour que cette politique de gros blanc cesse"."Je n'ai aucune honte à dénoncer cela. Je n'arrêterai de dénoncer cette politique de gros blanc que lorsque je serai mort", a-t-il commenté. Thierry Robert dit n'avoir aucun regret : "ce genre de choses est aujourd'hui en train de pourrir La Réunion".
L'ancien député-maire n'a pas été placé en garde à vue, "c'est déjà un bon point", a-t-il souligné.
Laurence Gilibert sur place