
Placée en garde à vue mercredi, l'une des deux sœurs de Sandia Gaia a vu sa garde à vue levée ce jeudi.
Les enquêteurs tentent de déterminer la nature de l'aide que les deux soeurs peuvent apporter à leur soeur partie en Syrie.
Les deux soeurs habitant à La Réunion ont été tour à tour entendue depuis le début de semaine. La première avait vu sa garde à vue levée mardi sans qu'aucune charge ne soit retenue contre elle à ce stade de l'enquête.
La seconde subissait à son tour l'épreuve d'une garde à vue dans la foulée pour être, elle aussi, libérée à l'issue de son audition aujourd'hui.
La Réunionnaise Sandia Gaia, née en juillet 1990 dans la ville du Port, a rejoint la Syrie, base arrière pour de nombreux jeunes européens tentés par le djihad. Sandia Gaia avait suivi les pas de son conjoint dans ce pays étranger et ce, dès 2014.
La trentenaire demeure sous le coup d’un mandat d’arrêt ou de recherche délivré par la justice française.
Les enquêteurs tentent de déterminer la nature de l'aide que les deux soeurs peuvent apporter à leur soeur partie en Syrie.
Les deux soeurs habitant à La Réunion ont été tour à tour entendue depuis le début de semaine. La première avait vu sa garde à vue levée mardi sans qu'aucune charge ne soit retenue contre elle à ce stade de l'enquête.
La seconde subissait à son tour l'épreuve d'une garde à vue dans la foulée pour être, elle aussi, libérée à l'issue de son audition aujourd'hui.
La Réunionnaise Sandia Gaia, née en juillet 1990 dans la ville du Port, a rejoint la Syrie, base arrière pour de nombreux jeunes européens tentés par le djihad. Sandia Gaia avait suivi les pas de son conjoint dans ce pays étranger et ce, dès 2014.
La trentenaire demeure sous le coup d’un mandat d’arrêt ou de recherche délivré par la justice française.