Et si la Rivière des Galets devenait un territoire "zéro chômeur" ? C’est en tout cas ce que souhaite la ville du Port, qui a validé hier en conseil municipal sa candidature pour participer à cette expérimentation se déclinant au niveau national. Alors que Jean-Hugues Ratenon (du collectif Rezistans'egalité 974) s’était insurgé qu’aucun élu n’entame de démarches en ce sens, c’est désormais chose faite pour la commune PLR de l’ouest.
Cette expérimentation est le fruit d’une loi du 29 février 2016, qui se fonde sur le préambule de la constitution de 1946 affirmant : " Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi ". Se basant sur des constats selon lesquels il est humainement et économiquement possible de supprimer le chômage de longue durée, elle prévoit une sélection de dix territoires tests.
200 emplois temps plein par territoire d’expérimentation
Le but est de démontrer qu’il est possible (à l’échelle d’un territoire comprenant entre 5000 et 10.000 habitants, ou un maximum de 300 chômeurs longue durée) de proposer à tout chômeur de longue durée qui le souhaite un CDI à temps choisi, sans surcoût pour la puissance publique. Le financement prévu correspond à 200 emplois temps plein par territoire d’expérimentation.
Les activités développées doivent être utiles et ne pas faire concurrence aux emplois existants. Elles sont sensées répondre aux besoins non-satisfaits des habitants, entreprises, associations ou autres institutions. L’objectif est de faire la promotion de ce dispositif auprès des entreprises qui œuvrent notamment dans le champ de l’économie sociale et solidaire, afin qu’elles s’engagent dans un processus de conventionnement. En contrepartie des emplois créés, elles recevront une dotation correspondant à 120% du SMIC.
Une candidature à transmettre avant le 28 octobre au ministère
La candidature de la ville pour la Rivière des Galets (quartier comptabilisant 3400 habitants et 600 demandeurs d’emploi) ayant été validée par la municipalité, elle doit désormais faire l’objet d’un accord du Conseil Régional ou du Conseil départemental pour un cofinancement des subventions versées aux entreprises, avant d’être transmis au ministère le 28 octobre au plus tard.
Le fonds de dotation est géré au niveau national, avec les dotations de chaque financeur. De son côté, la ville n’interviendra pas directement dans le financement du dispositif. Elle sera par contre chargée d’animer et de coordonner ce dispositif en mobilisant notamment des ressources internes. Reste à voir quelle suite sera donnée à cette candidature.
Cette expérimentation est le fruit d’une loi du 29 février 2016, qui se fonde sur le préambule de la constitution de 1946 affirmant : " Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi ". Se basant sur des constats selon lesquels il est humainement et économiquement possible de supprimer le chômage de longue durée, elle prévoit une sélection de dix territoires tests.
200 emplois temps plein par territoire d’expérimentation
Le but est de démontrer qu’il est possible (à l’échelle d’un territoire comprenant entre 5000 et 10.000 habitants, ou un maximum de 300 chômeurs longue durée) de proposer à tout chômeur de longue durée qui le souhaite un CDI à temps choisi, sans surcoût pour la puissance publique. Le financement prévu correspond à 200 emplois temps plein par territoire d’expérimentation.
Les activités développées doivent être utiles et ne pas faire concurrence aux emplois existants. Elles sont sensées répondre aux besoins non-satisfaits des habitants, entreprises, associations ou autres institutions. L’objectif est de faire la promotion de ce dispositif auprès des entreprises qui œuvrent notamment dans le champ de l’économie sociale et solidaire, afin qu’elles s’engagent dans un processus de conventionnement. En contrepartie des emplois créés, elles recevront une dotation correspondant à 120% du SMIC.
Une candidature à transmettre avant le 28 octobre au ministère
La candidature de la ville pour la Rivière des Galets (quartier comptabilisant 3400 habitants et 600 demandeurs d’emploi) ayant été validée par la municipalité, elle doit désormais faire l’objet d’un accord du Conseil Régional ou du Conseil départemental pour un cofinancement des subventions versées aux entreprises, avant d’être transmis au ministère le 28 octobre au plus tard.
Le fonds de dotation est géré au niveau national, avec les dotations de chaque financeur. De son côté, la ville n’interviendra pas directement dans le financement du dispositif. Elle sera par contre chargée d’animer et de coordonner ce dispositif en mobilisant notamment des ressources internes. Reste à voir quelle suite sera donnée à cette candidature.