Il était déjà venu agresser son ex-femme mais c’est l’oncle de celle-ci qui s’est interposé et a reçu trois coups de couteau. Le pronostic vital de cette victime, un homme de 75 ans propriétaire de nombreuses maisons dans ce même secteur du chemin du Milieu et rue de la Distillerie, n'est pas engagé.
Après avoir frappé à coups de couteau, l’agresseur, né en 1977, quitte les lieux. Les victimes en profitent pour donner l’alerte.
Vers 14h30, un premier équipage de police et une ambulance du Samu se rendent sur zone sur les bases d’une agression par arme blanche ayant occasionné une victime. Mais un second acte est sur le point de se jouer dans cette rue de la Distillerie.
Les policiers ne savent pas encore que l’auteur des coups de couteau est sur le point de revenir sur les lieux toujours aussi déterminé vis-à-vis de son ex.
L’agresseur se pointe de nouveau au domicile de la famille H. Il tombe cette fois nez-à-nez avec l’équipage de police. L’agresseur savait-il que les policiers étaient déjà présents ? Nul ne le saura. L'équipage de police s’était garé dans un virage de la rue du Milieu, environ 30 mètres en contrebas de la maison. Il se peut que l’agresseur n’ait donc pas vu que des policiers étaient déjà présents.
Surpris, les policiers passent d’une scène d’assistance à une personne blessée à celle d’être eux-mêmes sous la menace d’un homme armé.
Après avoir frappé à coups de couteau, l’agresseur, né en 1977, quitte les lieux. Les victimes en profitent pour donner l’alerte.
Vers 14h30, un premier équipage de police et une ambulance du Samu se rendent sur zone sur les bases d’une agression par arme blanche ayant occasionné une victime. Mais un second acte est sur le point de se jouer dans cette rue de la Distillerie.
Les policiers ne savent pas encore que l’auteur des coups de couteau est sur le point de revenir sur les lieux toujours aussi déterminé vis-à-vis de son ex.
L’agresseur se pointe de nouveau au domicile de la famille H. Il tombe cette fois nez-à-nez avec l’équipage de police. L’agresseur savait-il que les policiers étaient déjà présents ? Nul ne le saura. L'équipage de police s’était garé dans un virage de la rue du Milieu, environ 30 mètres en contrebas de la maison. Il se peut que l’agresseur n’ait donc pas vu que des policiers étaient déjà présents.
Surpris, les policiers passent d’une scène d’assistance à une personne blessée à celle d’être eux-mêmes sous la menace d’un homme armé.
Après avoir fait feu, les policiers portent les premiers secours
L’agresseur ne répond pas aux injonctions des forces de l'ordre. Il avance vers un premier policier, puis un second, toujours armé de son couteau. Plusieurs détonations retentissent à l’intérieur de la bâtisse. Un homme est au sol. L’agresseur vient d’être touché "à trois reprises, de face" selon Idriss Rangassamy, secrétaire départemental du syndicat Alliance Police Nationale.
Un seul policier a ouvert le feu sur les trois présents. Expérimenté, il a 25 ans de service. C’est ce même équipage de police qui tentera de ramener à la vie l’agresseur.
"Les collègues ont tenté de le réanimer avec des massages cardiaques et des points de compression", souligne Idriss Rangassamy pour qui la thèse de la légitime défense ne fait guère de doute. L’agresseur a été déclaré décédé après que les urgentistes du Samu ont pris le relais des policiers.
Des renforts sont évidemment demandés et arrivent dans les cinq minutes puisque de nombreux équipages étaient justement en train de quadriller le quartier pour mettre la main sur l’auteur des coups de couteau, recherché depuis environ 14 heures.
Bientôt, une vingtaine de policiers bouclent le secteur de la rue de la Distillerie, là où un oncle et sa nièce sont, pour l’un, blessé, et l’autre, sous le choc. Ils précèdent l’arrivée du directeur territorial de la Police nationale, Laurent Fraysse. La venue du numéro 1 des flics de l’île donne la mesure de l’importance de ce qui vient de se jouer. Un fonctionnaire de police vient d’abattre un homme. Un drame fort heureusement rarissime à La Réunion et un fait qui marque forcément la profession. De nombreux syndicalistes (SGP, Alliance, UNSA) arrivent d'ailleurs au fil des minutes pour réconforter leurs collègues qui ont été confrontés à cette scène. Aucune mesure de garde à vue n’a été prononcée à l’encontre de ce policier. A ce stade, la thèse de la légitime défense est privilégiée, selon nos informations.
L’agresseur ne répond pas aux injonctions des forces de l'ordre. Il avance vers un premier policier, puis un second, toujours armé de son couteau. Plusieurs détonations retentissent à l’intérieur de la bâtisse. Un homme est au sol. L’agresseur vient d’être touché "à trois reprises, de face" selon Idriss Rangassamy, secrétaire départemental du syndicat Alliance Police Nationale.
Un seul policier a ouvert le feu sur les trois présents. Expérimenté, il a 25 ans de service. C’est ce même équipage de police qui tentera de ramener à la vie l’agresseur.
"Les collègues ont tenté de le réanimer avec des massages cardiaques et des points de compression", souligne Idriss Rangassamy pour qui la thèse de la légitime défense ne fait guère de doute. L’agresseur a été déclaré décédé après que les urgentistes du Samu ont pris le relais des policiers.
Des renforts sont évidemment demandés et arrivent dans les cinq minutes puisque de nombreux équipages étaient justement en train de quadriller le quartier pour mettre la main sur l’auteur des coups de couteau, recherché depuis environ 14 heures.
Bientôt, une vingtaine de policiers bouclent le secteur de la rue de la Distillerie, là où un oncle et sa nièce sont, pour l’un, blessé, et l’autre, sous le choc. Ils précèdent l’arrivée du directeur territorial de la Police nationale, Laurent Fraysse. La venue du numéro 1 des flics de l’île donne la mesure de l’importance de ce qui vient de se jouer. Un fonctionnaire de police vient d’abattre un homme. Un drame fort heureusement rarissime à La Réunion et un fait qui marque forcément la profession. De nombreux syndicalistes (SGP, Alliance, UNSA) arrivent d'ailleurs au fil des minutes pour réconforter leurs collègues qui ont été confrontés à cette scène. Aucune mesure de garde à vue n’a été prononcée à l’encontre de ce policier. A ce stade, la thèse de la légitime défense est privilégiée, selon nos informations.