
Hier, vers 15 heures (heure locale), une forte déflagration a retenti à Analakely, devant l'Institut Français de Madagascar (IFM).
Un colis piégé a été déposé entre deux voitures. Aucun dégât n'a été relevé.
"L’explosion a secoué les environs. Son souffle a emporté le carton et le sachet en plastique. Mais elle n’était pas assez puissante pour mettre à mal les véhicules pris pour cible", a témoigné une opératrice téléphonique présente au moment de l’explosion, interrogée par l'Express de Madagascar.
Selon le journal, le dispositif comportait une batterie de moto scooter dont les bornes étaient connectées à des fils électriques et d'une bouteille contenant de la poudre. Le tout placé dans un carton, dissimulé dans un sachet en plastique noir.
Quelques minutes après l’attentat, des artificiers de l’armée sont venus récupérer les restes du dispositif en vue d’une analyse approfondie. Une enquête a été ouverte.
Un colis piégé a été déposé entre deux voitures. Aucun dégât n'a été relevé.
"L’explosion a secoué les environs. Son souffle a emporté le carton et le sachet en plastique. Mais elle n’était pas assez puissante pour mettre à mal les véhicules pris pour cible", a témoigné une opératrice téléphonique présente au moment de l’explosion, interrogée par l'Express de Madagascar.
Selon le journal, le dispositif comportait une batterie de moto scooter dont les bornes étaient connectées à des fils électriques et d'une bouteille contenant de la poudre. Le tout placé dans un carton, dissimulé dans un sachet en plastique noir.
Quelques minutes après l’attentat, des artificiers de l’armée sont venus récupérer les restes du dispositif en vue d’une analyse approfondie. Une enquête a été ouverte.