L’enquête sur la tentative d’assassinat de plusieurs personnalités politiques dont le président malgache Andry Rajoelina se poursuit.
Placés en garde à vue depuis le 20 juillet dernier, deux Français sont soupçonnés d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Selon RFI, leurs épouses doivent également se plier à un interrogatoire.
Le ministre de la Sécurité publique a précisé que six individus - un étranger, deux bi-nationaux et trois Malgaches – ont également été arrêtés. Ces derniers devraient être fixés sur leur sort judiciaire dans les prochains jours, précise le média.
Selon les premiers éléments, les enquêteurs auraient saisis des armes au domicile des deux suspects. L’un d’eux aurait même reconnu son implication.
Patrick Rajoelina, conseiller spécial du président malgache a déclaré : "Le peuple malgache est inquiet. Le fait de savoir que son président est menacé par un certain nombre de forces étrangères notamment. C'est une vraie inquiétude. Et puis, à qui profite le crime ? Est-ce que ce petit groupe de personnes est isolé ou est-ce que cela procède d'une véritable machination ? Enfin, naturellement, on se pose la question par rapport à ce qui s'est passé au Mali, au Tchad, en Haïti...".
Pour rappel, une tentative d’assassinat du secrétaire d’Etat chargé de la gendarmerie, bras droit du président malgache, avait été déjouée, il y a un mois.
Placés en garde à vue depuis le 20 juillet dernier, deux Français sont soupçonnés d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Selon RFI, leurs épouses doivent également se plier à un interrogatoire.
Le ministre de la Sécurité publique a précisé que six individus - un étranger, deux bi-nationaux et trois Malgaches – ont également été arrêtés. Ces derniers devraient être fixés sur leur sort judiciaire dans les prochains jours, précise le média.
Selon les premiers éléments, les enquêteurs auraient saisis des armes au domicile des deux suspects. L’un d’eux aurait même reconnu son implication.
Patrick Rajoelina, conseiller spécial du président malgache a déclaré : "Le peuple malgache est inquiet. Le fait de savoir que son président est menacé par un certain nombre de forces étrangères notamment. C'est une vraie inquiétude. Et puis, à qui profite le crime ? Est-ce que ce petit groupe de personnes est isolé ou est-ce que cela procède d'une véritable machination ? Enfin, naturellement, on se pose la question par rapport à ce qui s'est passé au Mali, au Tchad, en Haïti...".
Pour rappel, une tentative d’assassinat du secrétaire d’Etat chargé de la gendarmerie, bras droit du président malgache, avait été déjouée, il y a un mois.