
L'ambiance a rapidement dégénéré vers 9h30 sur le parvis de la mairie de Saint-Louis. Désormais présents en nombre, plus de 400, les grévistes et syndicalistes ont tenté de s'introduire dans la mairie afin de demander une audience au maire Claude Hoarau. Mais, c'est une trentaine de personnes assises devant la mairie, pour la plupart des employés communaux, et visiblement prête à défendre leur place forte que les manifestants ont trouvé face à eux.
Le ton est alors monté d'un cran et l'affrontement était sur le point d'éclater devant les regards des hommes de la gendarmerie nationale postés aux abords de l'Hôtel de ville. Le calme est désormais de retour mais les deux camps restent distants de quelques mètres. Les uns crient à l'injustice en raison des 5% de baisse opérés sur les salaires et les temps de travail tandis que les autres dénoncent une "grève sauvage" sans aucune négociation préalable.
Prévue à 10 heures, la Commission technique mixte paritaire (CTP) n'a finalement pas eu lieu, les syndicats refusant d'y participer. Quant à la manifestation, personne ne sait si elle va perdurer en raison des débordements observés il y a quelques instants.
Un peu plus tôt, un journaliste de la presse quotidienne régionale a bien failli être agressé alors qu'il prenait une simple photo des personnes assises sur le parvis de la mairie. Mais suite à l'intervention de ses confrères et des forces de l'ordre présentes sur place, les gendarmes du peloton de surveillance et d'interpellation (PSIG), le calme est revenu.
Le ton est alors monté d'un cran et l'affrontement était sur le point d'éclater devant les regards des hommes de la gendarmerie nationale postés aux abords de l'Hôtel de ville. Le calme est désormais de retour mais les deux camps restent distants de quelques mètres. Les uns crient à l'injustice en raison des 5% de baisse opérés sur les salaires et les temps de travail tandis que les autres dénoncent une "grève sauvage" sans aucune négociation préalable.
Prévue à 10 heures, la Commission technique mixte paritaire (CTP) n'a finalement pas eu lieu, les syndicats refusant d'y participer. Quant à la manifestation, personne ne sait si elle va perdurer en raison des débordements observés il y a quelques instants.
Un peu plus tôt, un journaliste de la presse quotidienne régionale a bien failli être agressé alors qu'il prenait une simple photo des personnes assises sur le parvis de la mairie. Mais suite à l'intervention de ses confrères et des forces de l'ordre présentes sur place, les gendarmes du peloton de surveillance et d'interpellation (PSIG), le calme est revenu.
