Mort pour un regard de travers, le tout sur fond d’alcool… C’est pour l’instant le seul mobile retenu pour tenter de comprendre l’origine de l’altercation qui s’est déroulée le vendredi 4 mai dans une boutique de la Rivière des Galets. Une altercation finalement mortelle près de deux semaines après les faits.
Jean Max, un quinquagénaire, avait été sauvagement frappé ce jour-là. Lourdement atteint à la tête, il avait été transporté vers le service neurologique du centre hospitalier de Terre Sainte, avant d'être placé dans un coma artificiel. L’homme de 52 ans est finalement décédé hier des suites de ses graves blessures, rapporte le JIR.
Le mercredi 9 mai, un jeune homme s’était présenté de lui-même au commissariat du Port. Fortement incité il est vrai par l’appel à témoins lancé par la famille de Jean Max et qui allait rapidement le confondre.
Déféré au tribunal de grande instance de Saint-Denis le jeudi 10 mai, l’agresseur, âgé de seulement 23 ans, avait été mis en examen pour violences ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours.
Avec le décès du quinquagénaire sur lequel il s’était acharné, la requalification des faits en violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, devrait lui être désormais signifier.
Le témoignage du gérant de la boutique (Chez Thomas, bazar la liberté) ci-dessous :
Jean Max, un quinquagénaire, avait été sauvagement frappé ce jour-là. Lourdement atteint à la tête, il avait été transporté vers le service neurologique du centre hospitalier de Terre Sainte, avant d'être placé dans un coma artificiel. L’homme de 52 ans est finalement décédé hier des suites de ses graves blessures, rapporte le JIR.
Le mercredi 9 mai, un jeune homme s’était présenté de lui-même au commissariat du Port. Fortement incité il est vrai par l’appel à témoins lancé par la famille de Jean Max et qui allait rapidement le confondre.
Déféré au tribunal de grande instance de Saint-Denis le jeudi 10 mai, l’agresseur, âgé de seulement 23 ans, avait été mis en examen pour violences ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours.
Avec le décès du quinquagénaire sur lequel il s’était acharné, la requalification des faits en violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, devrait lui être désormais signifier.
Le témoignage du gérant de la boutique (Chez Thomas, bazar la liberté) ci-dessous :