
Une délégation de six personnes, composée notamment de Patrick Corré, secrétaire général de la CGTR Educ'action, et de Léonus Robur, responsable TOS des lycées, a été reçue à la Région ce matin vers 9h.
Comme prévu depuis plusieurs semaines, une quinzaine de personnes est en grève aujourd'hui, accrochant ses banderoles aux grilles de la pyramide inversée. Ils ont également installé deux tentes et plusieurs bouteilles d'eau et de soda pour montrer leur détermination et leur volonté de s'installer devant les grilles de la collectivité si leurs revendications ne trouvent pas d'issue favorable. Ils dénoncent une différence de traitement par rapport aux autres membres du personnel de la Région.
Malgré un mauvais accueil, la Région ayant fait appel aux forces de l'ordre qui ont "donné un coup de pied dans notre matériel", dénonce Patrick Corré, secrétaire général de la CGTR Educ'action, les négociations avec Huguette Vidot, vice-présidente chargée de l'Education, ont été "globalement positives, indique le syndicaliste. Ils ont reconnu qu'il y avait un problème de reconnaissance du personnel TOS".
Désormais, le personnel TOS lycées bénéficiera de tickets restaurants pendant la durée de sa permanence, soit 25 jours, et l'avantage sera étendu ultérieurement sur toute l'année. Un rappel à l'ordre sera fait aux chefs d'établissement de lycées afin que les missions des TOS soient respectées et qu'elles ne sortent pas du cadre. "Les TOS n'ont pas à faire la sécurité", s'insurge Patrick Corré.
Eviter le "clientélisme et les dérives partisannes"
De plus, les TOS pourront récupérer leurs heures de formation qui ont été faites hors de leur temps de service. Et pour éviter le "clientélisme et les dérives partisanes", le recrutement sera désormais pris en charge par le Pôle emploi. "C'est une garantie de transparence", assure Patrick Corré.
Enfin, les TOS recevront leurs primes, pas perçues depuis plusieurs années et dont ils percevront les rappels dès le mois de septembre. "On attend la concrétisation des engagements de la Région. Si elle ne les respecte pas, nous reviendrons à la charge lors de l'assemblée plénière", prévient le syndicaliste.
Comme prévu depuis plusieurs semaines, une quinzaine de personnes est en grève aujourd'hui, accrochant ses banderoles aux grilles de la pyramide inversée. Ils ont également installé deux tentes et plusieurs bouteilles d'eau et de soda pour montrer leur détermination et leur volonté de s'installer devant les grilles de la collectivité si leurs revendications ne trouvent pas d'issue favorable. Ils dénoncent une différence de traitement par rapport aux autres membres du personnel de la Région.
Malgré un mauvais accueil, la Région ayant fait appel aux forces de l'ordre qui ont "donné un coup de pied dans notre matériel", dénonce Patrick Corré, secrétaire général de la CGTR Educ'action, les négociations avec Huguette Vidot, vice-présidente chargée de l'Education, ont été "globalement positives, indique le syndicaliste. Ils ont reconnu qu'il y avait un problème de reconnaissance du personnel TOS".
Désormais, le personnel TOS lycées bénéficiera de tickets restaurants pendant la durée de sa permanence, soit 25 jours, et l'avantage sera étendu ultérieurement sur toute l'année. Un rappel à l'ordre sera fait aux chefs d'établissement de lycées afin que les missions des TOS soient respectées et qu'elles ne sortent pas du cadre. "Les TOS n'ont pas à faire la sécurité", s'insurge Patrick Corré.
Eviter le "clientélisme et les dérives partisannes"
De plus, les TOS pourront récupérer leurs heures de formation qui ont été faites hors de leur temps de service. Et pour éviter le "clientélisme et les dérives partisanes", le recrutement sera désormais pris en charge par le Pôle emploi. "C'est une garantie de transparence", assure Patrick Corré.
Enfin, les TOS recevront leurs primes, pas perçues depuis plusieurs années et dont ils percevront les rappels dès le mois de septembre. "On attend la concrétisation des engagements de la Région. Si elle ne les respecte pas, nous reviendrons à la charge lors de l'assemblée plénière", prévient le syndicaliste.