
La Télévision numérique terrestre (TNT) a fêté ses cinq ans hier. Si la TNT couvre la quasi totalité de l'Hexagone, cela explique aussi le succès de la télé numérique en métropole. L'Outre-mer se prépare depuis un moment déjà à son arrivée (coût annuel : environ 20 millions d'euros). Sa diffusion a été repoussée à plusieurs reprises. La date butoir de novembre 2011 rapproche toutefois l'échéance.
Cette concurrence supplémentaire, surtout de part le succès de chaînes privées au sein de la TNT, incite France Télévision à s'armer et à mieux se préparer, pour la compétition qui s'annonce en Outre-mer.
Hier, la télévision publique a annoncé une enveloppe de 30 millions d'euros pour les TV pays : TV Réunion, TV Mayotte, TV Guadeloupe, TV Martinique, TV Guyane, TV Nouvelle-Calédonie, TV Polynésie, TV Saint-Pierre et Miquelon, TV Wallis et Futuna. Selon le site de RFO, cinq millions seront libérés cette année, 10 en 2011 et 15 en 2012.
Toujours selon RFO, les chaînes publiques locales devront “travailler à leur repositionnement éditorial”. Il s'agit pour Télé Réunion, comme pour l'ensemble des autres TV pays, “de proposer leurs programmes propres, de proximité et généralistes”. Cette orientation politique va entraîner la disparition de “Tempo”, la seconde chaîne publique locale de RFO Réunion.
Cette concurrence supplémentaire, surtout de part le succès de chaînes privées au sein de la TNT, incite France Télévision à s'armer et à mieux se préparer, pour la compétition qui s'annonce en Outre-mer.
Hier, la télévision publique a annoncé une enveloppe de 30 millions d'euros pour les TV pays : TV Réunion, TV Mayotte, TV Guadeloupe, TV Martinique, TV Guyane, TV Nouvelle-Calédonie, TV Polynésie, TV Saint-Pierre et Miquelon, TV Wallis et Futuna. Selon le site de RFO, cinq millions seront libérés cette année, 10 en 2011 et 15 en 2012.
Toujours selon RFO, les chaînes publiques locales devront “travailler à leur repositionnement éditorial”. Il s'agit pour Télé Réunion, comme pour l'ensemble des autres TV pays, “de proposer leurs programmes propres, de proximité et généralistes”. Cette orientation politique va entraîner la disparition de “Tempo”, la seconde chaîne publique locale de RFO Réunion.