"Que la mise en place de la licence tabac soit retardée d'un an" demande le syndicat des tabacs-presse de la Réunion. "Il ne faut pas que le petit Réunionnais des Hauts soit obligé de faire une heure de voiture pour aller dans les Bas acheter son paquet de cigarette" fait remarquer Gille Soula, porte-parole du syndicat réunionnais des tabacs-presse.
De plus, la mise en place d'une licence tabac, qui aura un coût "a été faite dans la précipitation" indique Gilles Soula. "Elle ne tient pas compte des spécificités géographiques de l'île". Le syndicat demande au Ministère du Budget et des douanes que "le planning de la mise en place de la licence tabac soit retardé d'au moins un an, afin de laisser aux Conseils généraux des Dom-Tom le temps de bien appréhender la création de cette licence".
"Quelle compensation pour ceux qui n'obtiendront pas la licence ?"
Le syndicat souhaite être associé étroitement aux services de l'État et au Conseil général pour "une réflexion approfondie d'une mesure qui peut remettre en cause des équilibres sociaux de La Réunion".
Le porte-parole des tabacs-presse demande sur quels critères le gouvernement décidera que tel ou tel point de vente a droit à la licence. "Qui pourra vendre du tabac : buralistes, stations-services, épiceries, points-chauds, boulangeries, restaurants, boites de nuit ?..."
Pour le moment, le coût de la licence n'est pas encore connu. Si aucune compensation n'est prévue pour ceux qui n'obtiendront pas la licence, c'est "une discrimination" affirme le syndicat, qui ajoute que "cette licence est de nature à transférer sur d'autres structures le bénéfice de cette perte de recettes".
De plus, la mise en place d'une licence tabac, qui aura un coût "a été faite dans la précipitation" indique Gilles Soula. "Elle ne tient pas compte des spécificités géographiques de l'île". Le syndicat demande au Ministère du Budget et des douanes que "le planning de la mise en place de la licence tabac soit retardé d'au moins un an, afin de laisser aux Conseils généraux des Dom-Tom le temps de bien appréhender la création de cette licence".
"Quelle compensation pour ceux qui n'obtiendront pas la licence ?"
Le syndicat souhaite être associé étroitement aux services de l'État et au Conseil général pour "une réflexion approfondie d'une mesure qui peut remettre en cause des équilibres sociaux de La Réunion".
Le porte-parole des tabacs-presse demande sur quels critères le gouvernement décidera que tel ou tel point de vente a droit à la licence. "Qui pourra vendre du tabac : buralistes, stations-services, épiceries, points-chauds, boulangeries, restaurants, boites de nuit ?..."
Pour le moment, le coût de la licence n'est pas encore connu. Si aucune compensation n'est prévue pour ceux qui n'obtiendront pas la licence, c'est "une discrimination" affirme le syndicat, qui ajoute que "cette licence est de nature à transférer sur d'autres structures le bénéfice de cette perte de recettes".