Contrairement aux informations relayées par le Journal de l’île de la Réunion concernant des soupçons « de surfacturations d’actes médicaux », l’Aurar affirme ne pas avoir connaissance, à ce jour, d’une plainte déposée à son encontre par la Caisse Générale de la Sécurité Sociale.
A la suite des accusations répétées par ce même média, l’Aurar a sollicité le directeur régional de la CGSS. Dans un courrier en date du 1er juillet, ce dernier avait qualifié ces allégations de « rumeurs » et indiqué qu’il ne portait « pas d’intérêt aux informations soi-disant obtenues au sein de la CGSS ».
L’Aurar a toujours manifesté sa volonté de transparence et de dialogue avec la CGSS, comme en témoignent les échanges réguliers avec leurs services concernant la facturation des séances de dialyse.
La direction générale de l’Aurar rappelle que l’association fait l’objet d’un traitement médiatique à charge depuis plusieurs mois de la part du Journal de l’île de la Réunion. Six plaintes en diffamation ont été engagées à ce jour. Les deux premiers jugements rendus par le tribunal correctionnel de Saint-Denis, en avril puis en juillet, ont abouti à la condamnation du journal et de son directeur de publication.
Marie-Rose Won Fah Hin
Directrice générale