L'intersyndicale de l'Education nationale s'est faite entendre cet après-midi encore devant les grilles du Rectorat. Reviennent sur la table les suppressions de postes d'enseignants à la rentrée prochaine.
Dès 14h, environ 150 enseignants des différents lycées de l'île concernés par les suppressions de postes à la rentrée 2011 sont devant les grilles du rectorat. L'intersyndicale (SNUIpp, CFTC, Sud Educ, Saiper, FCPE, CGTR, FSU, UNSA...) manifeste contre la décision du Comité technique paritaire (CTP) qui s'est réuni ce matin en validant les 162 suppressions de postes pour la rentrée.
"Même si le vote est serré au sein du comité puisque évidemment les différentes parties sont représentées à égalité, la mesure a été confirmée" affirme Marie-Hélène Dor, secrétaire départementale adjointe FSU.
L'autre mécontentement vient des conseillers pédagogiques. "Au lieu des trois conseillers par circonscription, il y en aura que deux à la rentrée dans chaque circonscription" précise une conseillère pédagogique qui souhaite parler au nom des 66 conseillers de la Réunion. "Le Recteur nous a dit que cela ne changera absolument rien car cela se pratique déjà ailleurs" continue-t-elle .
A 15h, une délégation est reçue au rectorat pour discuter des suppressions de postes pour la rentrée 2011. Le recteur est semble-t-il absent, il aurait une réunion prévue de longue date en préfecture. La délégation est reçue par le directeur de cabinet du Recteur Jean-Luc N'Guyen-Phuoc. Les enseignants sur place n'espéraient pas de grande avancée "notamment à cause du caractère sans délai de l'entrevue" comme nous précisait un syndicaliste.
Sans surprise, à la fin de la réunion, Marie-Hélène Dor confirmait les craintes du monde enseignant. "Nos revendications sont légitimes. C'est ce que nous a dit le Rectorat, tout en précisant que, pire, c'est bien plus que 162 postes qui allaient être supprimés, sans toutefois donner plus de précision" poursuit la représentante de la FSU.
Une réunion de l'intersyndicale devrait avoir lieu en début de semaine prochaine selon elle, "le temps d'accorder le planning de chaque organisation".
Dès 14h, environ 150 enseignants des différents lycées de l'île concernés par les suppressions de postes à la rentrée 2011 sont devant les grilles du rectorat. L'intersyndicale (SNUIpp, CFTC, Sud Educ, Saiper, FCPE, CGTR, FSU, UNSA...) manifeste contre la décision du Comité technique paritaire (CTP) qui s'est réuni ce matin en validant les 162 suppressions de postes pour la rentrée.
"Même si le vote est serré au sein du comité puisque évidemment les différentes parties sont représentées à égalité, la mesure a été confirmée" affirme Marie-Hélène Dor, secrétaire départementale adjointe FSU.
L'autre mécontentement vient des conseillers pédagogiques. "Au lieu des trois conseillers par circonscription, il y en aura que deux à la rentrée dans chaque circonscription" précise une conseillère pédagogique qui souhaite parler au nom des 66 conseillers de la Réunion. "Le Recteur nous a dit que cela ne changera absolument rien car cela se pratique déjà ailleurs" continue-t-elle .
A 15h, une délégation est reçue au rectorat pour discuter des suppressions de postes pour la rentrée 2011. Le recteur est semble-t-il absent, il aurait une réunion prévue de longue date en préfecture. La délégation est reçue par le directeur de cabinet du Recteur Jean-Luc N'Guyen-Phuoc. Les enseignants sur place n'espéraient pas de grande avancée "notamment à cause du caractère sans délai de l'entrevue" comme nous précisait un syndicaliste.
Sans surprise, à la fin de la réunion, Marie-Hélène Dor confirmait les craintes du monde enseignant. "Nos revendications sont légitimes. C'est ce que nous a dit le Rectorat, tout en précisant que, pire, c'est bien plus que 162 postes qui allaient être supprimés, sans toutefois donner plus de précision" poursuit la représentante de la FSU.
Une réunion de l'intersyndicale devrait avoir lieu en début de semaine prochaine selon elle, "le temps d'accorder le planning de chaque organisation".