Si l’explosion qui a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi à 3h30 du matin n’est presque plus visible, les habitants de la cité rue Gay-Lussac à Ste-Marie (ancienne cité Apavou) sont toujours sous le choc.
En arrivant sut le parking, on ne remarque que les véhicules endommagés par la déflagration qui sont recouverts d’une bâche bleue pour ne pas prendre la pluie. Les débris de verre sont importants au sol et témoignent de la violence de l’explosion.
La voisine de l’appartement du dessus, raconte que la détonation les a réveillés à 3h30 et que les secours sont arrivés à 4h du matin. La victime de l’explosion d’une bouteille de gaz, [un homme d’une soixantaine d’années vivait seul dans l’appartement]urlblank:https://www.zinfos974.com/Explosion-d-une-bouteille-de-gaz-L-etat-de-la-victime-se-degrade_a123005.html . Au détour de la cage d’escalier, plus rien n’est visible. Les voisins expliquent que le bailleur de l’immeuble a fait le nécessaire afin de sécuriser les lieux. On peut quand même apercevoir la porte de l’appartement sinistré encastrée dans une rambarde jouxtant le hall de l’immeuble.
La victime est toujours dans un état grave et les voisins s’inquiètent de son état. Une voisine a appelé le CHU en vain. L’hôpital ne répond qu’aux proches. Personne ne sait pour le moment si l’homme a de la famille.
Après l’effroi et la violence de l’explosion, la réalité reprend ses droits et les voisins sinistrés par l’explosion se retrouvent devant un sérieux problème. Les assurances demandent qu’un constat soit fait avec le locataire de l’appartement afin de pouvoir entamer une procédure d’indemnisation des voitures abimées et procéder aux réparations.