Malgré la santé mentale fragile de son fils schizophrène elle ne s’attendait pas à une telle violence de sa part. Mais le 8 septembre dernier, L.D, 28 ans, se pointe chez elle à Sainte-Marie dans la nuit. Cela fait une semaine qu’il habite ailleurs. Une dispute éclate au petit matin et elle menace d’appeler la police. Ceci ne lui plait pas. Il la bouscule, elle chute et alors qu’elle se trouve au sol, la rue de coups de pied. "Je ne m’attendais pas à un acte aussi violent, déclare sa mère, je ne reconnaissais pas mon enfant".
La colère, il a en effet du mal à la contrôler. Il comparait ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Champ-Fleuri pour ces faits-là mais également des faits remontant au mois d’août à la mairie de Sainte-Marie. Il s’était emparé de l’ordinateur d’un employé et l’avait balancé à travers la pièce. Chose qui ne doit pas aider : sa consommation de cannabis.
Mais selon le psychiatre, L.D est curable et réadaptable, malgré un casier qui comprend déjà trois condamnations. Il a été condamné à 8 mois de prison dont 5 avec sursis, ainsi qu'une obligation de travail et de soins et l’interdiction d’entrer en contact avec sa mère.
La colère, il a en effet du mal à la contrôler. Il comparait ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Champ-Fleuri pour ces faits-là mais également des faits remontant au mois d’août à la mairie de Sainte-Marie. Il s’était emparé de l’ordinateur d’un employé et l’avait balancé à travers la pièce. Chose qui ne doit pas aider : sa consommation de cannabis.
Mais selon le psychiatre, L.D est curable et réadaptable, malgré un casier qui comprend déjà trois condamnations. Il a été condamné à 8 mois de prison dont 5 avec sursis, ainsi qu'une obligation de travail et de soins et l’interdiction d’entrer en contact avec sa mère.