
En politique, se soucier de la probité est à la mode. Et les candidats aux municipales l'ont bien compris. Pour assurer de leur bonne foi et redonner confiance à des citoyens désabusés, ils sont nombreux à élaborer et ratifier des "chartes éthiques". C’est le cas de Yoland Velleyen, candidat à Saint-Paul (et toujours 1er adjoint du maire sortant), qui a convié ce mardi la presse à venir assister à cet "engagement".
La charte de la liste "Ensemble, c’est possible" comprend sept articles. Casier judiciaire, cumul des mandats, emplois familiaux, recrutement de personnel, attribution de logements sociaux, indemnités, absentéisme… autant de points sur lesquels s’engage Yoland Velleyen en signant ce document - après six années passées aux côtés d'un maire ne remplissant pas tous ces principes érigés en "valeurs".
On y lit notamment que "les candidats qui se présentent à cette élection doivent avoir leur casier judiciaire vierge", et qu'ils prennent "l'engagement de démissionner" si cette condition vient à disparaître au cours du mandat ; que les élus absents des sessions du conseil municipal "acceptent une diminution de leurs indemnités" ; ou encore qu'ils s'engagent à ne briguer aucun autre mandat. Une charte essentiellement symbolique, aucune sanction n’étant pour l’instant clairement formalisée.
"Je suis un gilet jaune depuis ma naissance"
"La signature de cette charte est un point d’étape", indique Yoland Velleyen, fier de porter une liste "sans étiquette" aux larges horizons. "Le nouveau concept, c’est la diversité. Plus de 95% des personnes de la liste n’ont jamais fait de politique", indique l'adjoint chargé de la culture. "Une diversité de compétences, une diversité géographique, culturelle, mais aussi une diversité d’âges".
Si le programme n’a pas été entièrement dévoilé, Yoland Velleyen fait part de sa volonté de déconcentrer un peu plus les services de la ville, dans une démarche de "proximité" : "La commune sera segmentée en cinq bassins de vie, dans lesquels on pourra trouver les services de la ville. Des conseils de développement citoyens permettront de travailler avec un budget et de prioriser les actions", fait-il savoir. Le tout avec un "accent sur les nouvelles technologies".
Un programme et une liste que Yoland Velleyen explique avoir construits au fil des rencontres avec les Saint-Paulois, entamées depuis la fin du mouvement des gilets jaunes. "Je suis un gilet jaune depuis ma naissance. Je suis un gilet jaune qui essaie de rassembler pour co-construire quelque chose sur Saint-Paul", argue le candidat. Outre son maire, ce sont deux autres anciens premiers magistrats que l'adjoint affrontera le 15 mars prochain, Huguette Bello et Alain Bénard convoitant eux aussi le fauteuil d'édile.
La charte de la liste "Ensemble, c’est possible" comprend sept articles. Casier judiciaire, cumul des mandats, emplois familiaux, recrutement de personnel, attribution de logements sociaux, indemnités, absentéisme… autant de points sur lesquels s’engage Yoland Velleyen en signant ce document - après six années passées aux côtés d'un maire ne remplissant pas tous ces principes érigés en "valeurs".
On y lit notamment que "les candidats qui se présentent à cette élection doivent avoir leur casier judiciaire vierge", et qu'ils prennent "l'engagement de démissionner" si cette condition vient à disparaître au cours du mandat ; que les élus absents des sessions du conseil municipal "acceptent une diminution de leurs indemnités" ; ou encore qu'ils s'engagent à ne briguer aucun autre mandat. Une charte essentiellement symbolique, aucune sanction n’étant pour l’instant clairement formalisée.
"Je suis un gilet jaune depuis ma naissance"
"La signature de cette charte est un point d’étape", indique Yoland Velleyen, fier de porter une liste "sans étiquette" aux larges horizons. "Le nouveau concept, c’est la diversité. Plus de 95% des personnes de la liste n’ont jamais fait de politique", indique l'adjoint chargé de la culture. "Une diversité de compétences, une diversité géographique, culturelle, mais aussi une diversité d’âges".
Si le programme n’a pas été entièrement dévoilé, Yoland Velleyen fait part de sa volonté de déconcentrer un peu plus les services de la ville, dans une démarche de "proximité" : "La commune sera segmentée en cinq bassins de vie, dans lesquels on pourra trouver les services de la ville. Des conseils de développement citoyens permettront de travailler avec un budget et de prioriser les actions", fait-il savoir. Le tout avec un "accent sur les nouvelles technologies".
Un programme et une liste que Yoland Velleyen explique avoir construits au fil des rencontres avec les Saint-Paulois, entamées depuis la fin du mouvement des gilets jaunes. "Je suis un gilet jaune depuis ma naissance. Je suis un gilet jaune qui essaie de rassembler pour co-construire quelque chose sur Saint-Paul", argue le candidat. Outre son maire, ce sont deux autres anciens premiers magistrats que l'adjoint affrontera le 15 mars prochain, Huguette Bello et Alain Bénard convoitant eux aussi le fauteuil d'édile.