A la suite du Conseil municipal du 23 février, nous déplorons une fois encore que M. Séraphin confisque le débat démocratique, entrave la libre expression des élus de l’opposition et se laisse aller à des formules blessantes et humiliantes envers ses contradicteurs.
Sur le fond, nous relevons les graves contradictions de M. Séraphin adepte du « faites ce que je dis pas ce que je fais ».
M. Séraphin se vante d’apporter « un soutien transparent et de proximité aux associations culturelles »mais fait financer par le contribuable une aide à une société privée cinématographique dont le chiffre d'affaires dépasse les 3 millions d'euros.
M. Séraphin se vante de « respecter la neutralité du service public » mais décide de fermer la Mairie à coups de grands discours anticapitalistes pour inciter très fortement les agents communaux à faire grève.
M. Séraphin se vante « d’être exemplaire »mais piétine sans scrupule la loi du littoral en autorisant une fermeture totale de la plage de Cap Homard pour y organiser un évènement privé et payant.
M. Séraphin se vante « de gérer humainement le personnel communal » mais au lieu de payer la prime Covid qui leur doit il « bouch’ leur yeux » avec le Rifseep mis en place par l’ancienne mandature comme l’exige la loi.
En conclusion, M. Séraphin débute cette année comme il l’a terminée avec amateurisme et autoritarisme incapable d'admettre une seule critique dans le cadre démocratique.
Sur le fond, nous relevons les graves contradictions de M. Séraphin adepte du « faites ce que je dis pas ce que je fais ».
M. Séraphin se vante d’apporter « un soutien transparent et de proximité aux associations culturelles »mais fait financer par le contribuable une aide à une société privée cinématographique dont le chiffre d'affaires dépasse les 3 millions d'euros.
M. Séraphin se vante de « respecter la neutralité du service public » mais décide de fermer la Mairie à coups de grands discours anticapitalistes pour inciter très fortement les agents communaux à faire grève.
M. Séraphin se vante « d’être exemplaire »mais piétine sans scrupule la loi du littoral en autorisant une fermeture totale de la plage de Cap Homard pour y organiser un évènement privé et payant.
M. Séraphin se vante « de gérer humainement le personnel communal » mais au lieu de payer la prime Covid qui leur doit il « bouch’ leur yeux » avec le Rifseep mis en place par l’ancienne mandature comme l’exige la loi.
En conclusion, M. Séraphin débute cette année comme il l’a terminée avec amateurisme et autoritarisme incapable d'admettre une seule critique dans le cadre démocratique.