Un homme d'une quarantaine d'années comparaissait cet après-midi devant le tribunal pour violences avec sabre et vol dans la commune de Saint-Paul les 9 et 14 juin derniers. Cette affaire, sur fond d'alcool, concerne un différend entre deux dalons de beuverie. Patrick.L reproche à Jean.K de lui devoir de l'argent, 155€ pour être exact.
Le 9 juin, Patrick débarque chez Jean armé d'un sabre et le somme de le rembourser. Particulièrement éméché, Patrick le frappe avec le plat du sabre, dégrade sa case, le menace de mort et s'enfuit avec une chaîne hi-fi en guise de dédommagement. Paniqué, Jean appelle les gendarmes. Des témoins confirmeront la présence de Patrick, attestant également qu'il terrorise régulièrement le voisinage par son agressivité et son sabre.
Le 14 juin, ils se retrouvent devant un bar pour le deuxième round car Patrick est très énervé que Jean ait fait appel aux gendarmes. Il réitère ses menaces et exige le retrait de la plainte. La victime fait de nouveau appel aux forces de l'ordre qui finissent par interpeller l'agresseur.
"Il raconte absolument n'importe quoi", entame la procureure qui rappelle les 8 mentions de son casier, 5 pour des faits de violences, dont une qui lui a valu 6 années de prison. Elle requiert 10 mois ferme avec mandat de dépôt et la révocation de 2 mois d'un précédent sursis. Le juge suit les réquisitions du parquet et envoie Patrick se ressourcer 1 an à Domenjod.
Le 9 juin, Patrick débarque chez Jean armé d'un sabre et le somme de le rembourser. Particulièrement éméché, Patrick le frappe avec le plat du sabre, dégrade sa case, le menace de mort et s'enfuit avec une chaîne hi-fi en guise de dédommagement. Paniqué, Jean appelle les gendarmes. Des témoins confirmeront la présence de Patrick, attestant également qu'il terrorise régulièrement le voisinage par son agressivité et son sabre.
Le 14 juin, ils se retrouvent devant un bar pour le deuxième round car Patrick est très énervé que Jean ait fait appel aux gendarmes. Il réitère ses menaces et exige le retrait de la plainte. La victime fait de nouveau appel aux forces de l'ordre qui finissent par interpeller l'agresseur.
"Il raconte absolument n'importe quoi", entame la procureure qui rappelle les 8 mentions de son casier, 5 pour des faits de violences, dont une qui lui a valu 6 années de prison. Elle requiert 10 mois ferme avec mandat de dépôt et la révocation de 2 mois d'un précédent sursis. Le juge suit les réquisitions du parquet et envoie Patrick se ressourcer 1 an à Domenjod.