
Le médecin saint-louisien accusé de harcèlement moral par ses secrétaires a été relaxé. Le tribunal correctionnel de Saint-Pierre a livré son délibéré ce jeudi après avoir examiné l'affaire en mars dernier.
"Il y a eu confusion entre pouvoir de direction et harcèlement", avait noté le ministère public. Notant une manière de parler "irrespectueuse et déplacée", la procureure avait requis 8 mois de sursis, 10.000 euros d’amende et 3 ans d’inéligibilité à l'encontre du professionnel de santé.
"Les poursuites ne sont pas pertinentes dans la mesure où les faits ne constituent pas du harcèlement", avait plaidé la défense. "C’est vrai, on l’aime ou on ne l’aime pas. Il s’exprime de façon particulière mais cela ne constitue pas un harcèlement", avait pointé Me Brigitte Hoarau, réclamant la relaxe. Une demande à laquelle le tribunal a fait droit.
"Il y a eu confusion entre pouvoir de direction et harcèlement", avait noté le ministère public. Notant une manière de parler "irrespectueuse et déplacée", la procureure avait requis 8 mois de sursis, 10.000 euros d’amende et 3 ans d’inéligibilité à l'encontre du professionnel de santé.
"Les poursuites ne sont pas pertinentes dans la mesure où les faits ne constituent pas du harcèlement", avait plaidé la défense. "C’est vrai, on l’aime ou on ne l’aime pas. Il s’exprime de façon particulière mais cela ne constitue pas un harcèlement", avait pointé Me Brigitte Hoarau, réclamant la relaxe. Une demande à laquelle le tribunal a fait droit.