Une vingtaine d'employés communaux de la mairie de Saint-Louis se sont rassemblés ce matin devant l'hôtel de ville.
Ils protestent contre la titularisation de 3 à 4 agents, "alors que la collectivité doit faire face à des restrictions budgétaires, qu'il s'agit d'employés qui ne sont pas du même bord politique que le maire en place et qu'ils sont en fonction depuis peu au sein de la mairie". La plupart de ces agents titularisés ont été reçus aux concours de la fonction publique territoriale.
Dans un courrier, le maire Patrick Malet aurait indiqué les recevoir au mois de mai dans des entretiens individuels. Un délai d'attente beaucoup trop long pour ces employés de divers services qui assurent attendre depuis déjà longtemps, "une dizaine d'années pour certains".
Ils demandent qu'un plan de titularisation progressif soit mis en place, "en commençant par ceux qui ont le plus d'ancienneté". Lundi matin à l'issue d'une réunion de travail, ces "employés et militants déçus" décideront des suites à donner à leur mouvement.
Contactés, les services de la mairie n'ont pas souhaité "s'exprimer pour le moment".
Ils protestent contre la titularisation de 3 à 4 agents, "alors que la collectivité doit faire face à des restrictions budgétaires, qu'il s'agit d'employés qui ne sont pas du même bord politique que le maire en place et qu'ils sont en fonction depuis peu au sein de la mairie". La plupart de ces agents titularisés ont été reçus aux concours de la fonction publique territoriale.
Dans un courrier, le maire Patrick Malet aurait indiqué les recevoir au mois de mai dans des entretiens individuels. Un délai d'attente beaucoup trop long pour ces employés de divers services qui assurent attendre depuis déjà longtemps, "une dizaine d'années pour certains".
Ils demandent qu'un plan de titularisation progressif soit mis en place, "en commençant par ceux qui ont le plus d'ancienneté". Lundi matin à l'issue d'une réunion de travail, ces "employés et militants déçus" décideront des suites à donner à leur mouvement.
Contactés, les services de la mairie n'ont pas souhaité "s'exprimer pour le moment".