
Un peu plus de quatre mois après un premier signalement, l'association de Daniel Faivre se désespère de voir la situation de Raymond Tangatchy rester la même.
L'homme de 68 ans vit dans une habitation insalubre de Saint-Louis. Reclus dans sa case, sans électricité, Raymond Tangatchy (neveu du célèbre coureur homonyme) présente un handicap majeur pour alerter l'assistance sociale : il a subi une trachéotomie en raison d'un cancer.
C'est donc l'Association Solidarité Inter Génération (ASIG) qui a pris cette affaire à coeur. "Depuis septembre, rien n'a bougé pour lui", signale Daniel Faivre. Ses messages à l'adresse des interlocuteurs habituels, à savoir la sous-préfecture, le Conseil général, l'ARS et la ville via son CCAS n'ont eu que peu d'effets.
"Les enfants de M. Tangatchy ne sont jamais informés de l'avancée éventuelle du dossier. Nous envoyons des documents qu'on nous demande de déposer sur la situation du demandeur mais nous n'en avons aucun retour", regrette-il. Une situation que déplore le président d'association mais qu'il retrouve dans beaucoup de cas. "Je passe l'essentiel de mes journées à cela : relancer les différents intervenants", alors que pendant ce temps "des personnes sont réellement dans le besoin, soit financier, soit pour l'amélioration de leur cadre de vie", ajoute-t-il.
La seule avancée notable depuis septembre dernier tient dans l'obtention par Raymond Tangatchy d'un laryngophone qui lui permet, enfin, de parler presque naturellement. "Il a cependant encore du mal à s'y habituer et à l'utiliser", relève Daniel Faivre qui ne lâche pas la pression. "La campagne électorale, c'est beaucoup de promesses et peu d'actions dans les faits", affirme-t-il.
L'homme de 68 ans vit dans une habitation insalubre de Saint-Louis. Reclus dans sa case, sans électricité, Raymond Tangatchy (neveu du célèbre coureur homonyme) présente un handicap majeur pour alerter l'assistance sociale : il a subi une trachéotomie en raison d'un cancer.
C'est donc l'Association Solidarité Inter Génération (ASIG) qui a pris cette affaire à coeur. "Depuis septembre, rien n'a bougé pour lui", signale Daniel Faivre. Ses messages à l'adresse des interlocuteurs habituels, à savoir la sous-préfecture, le Conseil général, l'ARS et la ville via son CCAS n'ont eu que peu d'effets.
"Les enfants de M. Tangatchy ne sont jamais informés de l'avancée éventuelle du dossier. Nous envoyons des documents qu'on nous demande de déposer sur la situation du demandeur mais nous n'en avons aucun retour", regrette-il. Une situation que déplore le président d'association mais qu'il retrouve dans beaucoup de cas. "Je passe l'essentiel de mes journées à cela : relancer les différents intervenants", alors que pendant ce temps "des personnes sont réellement dans le besoin, soit financier, soit pour l'amélioration de leur cadre de vie", ajoute-t-il.
La seule avancée notable depuis septembre dernier tient dans l'obtention par Raymond Tangatchy d'un laryngophone qui lui permet, enfin, de parler presque naturellement. "Il a cependant encore du mal à s'y habituer et à l'utiliser", relève Daniel Faivre qui ne lâche pas la pression. "La campagne électorale, c'est beaucoup de promesses et peu d'actions dans les faits", affirme-t-il.