
En couple depuis cinq mois, Monique et Laurent filent le parfait amour. Le 25 juillet dernier, ils décident de se dire "Oui" pour le meilleur et pour le pire. Le lendemain de l’union, le pire fait déjà surface.
Laurent reproche à sa jeune épouse son manque d’écoute. L’incompréhension s’installe au sein du couple. Le ton monte. À court d’arguments, le jeune homme assène alors plusieurs gifles à sa femme. Présente lors de la première scène de ménage des mariés, la famille s’interpose.
Le soir venu, Laurent ne décolère toujours pas. Il décide de verser de la bétadine sur le visage de sa belle. Monique essuie ensuite des coups de poing et pied avant de se réfugier dans la chambre de sa mère.
Deux jours après leur échange de voeux, la jeune femme semble déterminée à se séparer de celui qui prétendait l’aimer en lui demandant de quitter le foyer. Son époux ne l’entend pas de cette oreille et la gifle avec sa chaussure de mariage.
Ce vendredi, lors de son procès pour violences conjugales, Laurent a réfuté les faits qui lui sont reprochés. "J’ai jamais frappé avec des coups de poing ni coups de pied. Sinon, elle n’aurait pas seulement eu deux jours d’ITT", lance-t-il. Et de poursuivre : "J’ai juste râlé les cheveux et son linge. Elle n’a pas pris soin de moi comme moi j’ai pu prendre soin d’elle".
Condamné à 12 reprises par le passé, notamment pour avoir violenté sa précédente compagne, le mis en cause confie fumer jusqu’à 10 joints par jour.
Pour la procureure, la culpabilité du prévenu ne fait aucun doute. En conséquence, elle requiert deux ans de prison à son encontre et l’interdiction d’entrer en contact avec son épouse pendant trois ans.
La défense, elle, a pointé du doigt une exagération de la partie civile et le passé tourmenté de son client. "Il a été placé dès son plus jeune âge. Il n’a pas eu les bons réflexes", a plaidé la robe noire.
Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné le jeune marié à 15 mois de prison ferme. Il a l’interdiction d’approcher sa femme pendant trois années.
Laurent reproche à sa jeune épouse son manque d’écoute. L’incompréhension s’installe au sein du couple. Le ton monte. À court d’arguments, le jeune homme assène alors plusieurs gifles à sa femme. Présente lors de la première scène de ménage des mariés, la famille s’interpose.
Le soir venu, Laurent ne décolère toujours pas. Il décide de verser de la bétadine sur le visage de sa belle. Monique essuie ensuite des coups de poing et pied avant de se réfugier dans la chambre de sa mère.
Deux jours après leur échange de voeux, la jeune femme semble déterminée à se séparer de celui qui prétendait l’aimer en lui demandant de quitter le foyer. Son époux ne l’entend pas de cette oreille et la gifle avec sa chaussure de mariage.
Ce vendredi, lors de son procès pour violences conjugales, Laurent a réfuté les faits qui lui sont reprochés. "J’ai jamais frappé avec des coups de poing ni coups de pied. Sinon, elle n’aurait pas seulement eu deux jours d’ITT", lance-t-il. Et de poursuivre : "J’ai juste râlé les cheveux et son linge. Elle n’a pas pris soin de moi comme moi j’ai pu prendre soin d’elle".
Condamné à 12 reprises par le passé, notamment pour avoir violenté sa précédente compagne, le mis en cause confie fumer jusqu’à 10 joints par jour.
Pour la procureure, la culpabilité du prévenu ne fait aucun doute. En conséquence, elle requiert deux ans de prison à son encontre et l’interdiction d’entrer en contact avec son épouse pendant trois ans.
La défense, elle, a pointé du doigt une exagération de la partie civile et le passé tourmenté de son client. "Il a été placé dès son plus jeune âge. Il n’a pas eu les bons réflexes", a plaidé la robe noire.
Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné le jeune marié à 15 mois de prison ferme. Il a l’interdiction d’approcher sa femme pendant trois années.