
Capture d'écran vidéo Facebook
Après la grève du 24 août dernier, une nouvelle journée de mobilisation a démarré ce mercredi matin devant la mairie de Saint-Louis, à l'initiative du SAFPTR et de la CFDT, pour protester contre l'annulation de titularisations jugées illégales par la préfecture.
"Aujourd’hui, les gendarmes séquestrent les employés communaux pour interdire aux syndicalistes d’expliquer leur mouvement. Quelle est la légitimité ? Quelle complicité entre la maire et le préfet ?", s'indigne Jean-Pierre Lallemand, président du SAFPTR, réclamant la démission de la maire de Saint-Louis. Une "scène extraordinaire jamais vue en France" qui débouchera sur "une plainte auprès du Procureur", déclare-t-il dans le mégaphone.
De son côté, la première magistrate a commenté l'événement par voie de communiqué, évoquant une "grève instrumentalisée par des politiciens de la ville". Et sa vision est tout autre : "Ce mercredi 2 septembre, j’ai donc vu un groupe d’agents devenir l’otage de règlements de comptes politiciens allant jusqu’à oser demander ma démission", écrit-elle.
"Aujourd’hui, les gendarmes séquestrent les employés communaux pour interdire aux syndicalistes d’expliquer leur mouvement. Quelle est la légitimité ? Quelle complicité entre la maire et le préfet ?", s'indigne Jean-Pierre Lallemand, président du SAFPTR, réclamant la démission de la maire de Saint-Louis. Une "scène extraordinaire jamais vue en France" qui débouchera sur "une plainte auprès du Procureur", déclare-t-il dans le mégaphone.
De son côté, la première magistrate a commenté l'événement par voie de communiqué, évoquant une "grève instrumentalisée par des politiciens de la ville". Et sa vision est tout autre : "Ce mercredi 2 septembre, j’ai donc vu un groupe d’agents devenir l’otage de règlements de comptes politiciens allant jusqu’à oser demander ma démission", écrit-elle.
Publiée par Vaitilingom Nancy Marie Leila sur Mardi 1 septembre 2020