
Militant depuis 27 ans, Alin Guezello occupe pour la première fois depuis 2010 un mandat, celui de conseiller régional de la majorité conduite par Didier Robert. Dans la droite ligne des prochaines municipales de 2014, Alin Guezello a décidé de lancer en octobre dernier son association, avec l'aide de plusieurs militants de la commune, "Saint-Joseph en confiance", déclinaison communale du mouvement politique conduit par Didier Robert, la Réunion en confiance. "Dans la logique de la Réunion en confiance. Je voulais être le précurseur des opposants. On pourrait imaginer les Avirons en Confiance, Saint-Denis en confiance… par la suite", explique-t-il.
"Je veux ramener ce que l'on fait à la Région, à l'échelle de nos communes car notre fonction ne s'arrête pas aux portes de la pyramide inversée (ndlr le siège du Conseil régional)", ajoute-t-il. Pour mettre en place son programme pour Saint-Joseph en 2014, Alin Guezello veut s'appuyer sur trois axes de développement : économique, touristique et humain. Des axes selon lui différents de la politique menée par Patrick Lebreton, notamment depuis les dernières élections en 2008: "J'ai été observateur entre 2001 et 2008, les Saint-Joséphois avaient fait le choix d'une autre politique. Depuis 2008, on est plus embrigadé dans une politique d'assistanat pur et dur. Je pense que les choses vont changer en 2014. Je rencontre les gens deux fois par semaine à Saint-Joseph, j'anime des réunions de quartier et je peux voir des gens qui ont fait ce choix du "changement" et qui commencent à regretter amèrement", lâche-t-il.
"Pas là pour donner des contrats aidés"
Alin Guezello est très critique vis-à-vis du gouvernement actuel dont le "paquet" de promesses n'est pas tenu. "La première priorité aurait été l'emploi et la formation des jeunes au lieu de passer en force sur le mariage pour tous, qui, soit dit en passant, existait déjà sous sa forme civile à travers le PACS", précise-t-il.
Une des priorités du conseiller général, la bataille pour l'emploi. "Il faut s'attaquer à l'emploi des jeunes. Un maire n'est pas là pour dire aux jeunes : "venez par là, on va vous donner un emploi aidé". Un maire n'est pas là pour créer de l'emploi et je veux inverser les curseurs. Un maire est là pour faire en sorte que sa commune soit attractive et que les zones d'activités soient créées pour les entreprises", explique-t-il.
Là où Patrick Lebreton a "failli" selon Alin Guezello, c'est au sujet des entreprises. Ilfaut leur donner "envie" de venir s'installer à Saint-Joseph. "Aujourd'hui, Saint-Joseph est une ville morte après 17 heures. Avec 35.000 habitants, on ne peut plus se contenter d'un ville qui ne vit plus (…). Il y a une attente de la population, celle d'un vrai changement de cap et d'attitude", ajoute-t-il.
"Mon rôle est de proposer la meilleure équipe et le meilleur programme pour donner envie aux gens de voter", souligne-t-il. Pour Alin Guezello, Patrick Lebreton n'a pas tenu sa parole aux électeurs en 2001. "Son slogan était "Un homme un mandat". Depuis ce monsieur a oublié sa promesse. Il aurait pu faire comme Bareigts et Orphé (qui ont laissé leur poste d'adjointe à la mairie de Saint-Denis). Il aurait dû prendre ses responsabilités et démissionner d'un de ses postes", explique-t-il.
"Je ne ferai pas de promesses lors de ma campagne. Mais je dirai la vérité à la population", conclut-il.
"Je veux ramener ce que l'on fait à la Région, à l'échelle de nos communes car notre fonction ne s'arrête pas aux portes de la pyramide inversée (ndlr le siège du Conseil régional)", ajoute-t-il. Pour mettre en place son programme pour Saint-Joseph en 2014, Alin Guezello veut s'appuyer sur trois axes de développement : économique, touristique et humain. Des axes selon lui différents de la politique menée par Patrick Lebreton, notamment depuis les dernières élections en 2008: "J'ai été observateur entre 2001 et 2008, les Saint-Joséphois avaient fait le choix d'une autre politique. Depuis 2008, on est plus embrigadé dans une politique d'assistanat pur et dur. Je pense que les choses vont changer en 2014. Je rencontre les gens deux fois par semaine à Saint-Joseph, j'anime des réunions de quartier et je peux voir des gens qui ont fait ce choix du "changement" et qui commencent à regretter amèrement", lâche-t-il.
"Pas là pour donner des contrats aidés"
Alin Guezello est très critique vis-à-vis du gouvernement actuel dont le "paquet" de promesses n'est pas tenu. "La première priorité aurait été l'emploi et la formation des jeunes au lieu de passer en force sur le mariage pour tous, qui, soit dit en passant, existait déjà sous sa forme civile à travers le PACS", précise-t-il.
Une des priorités du conseiller général, la bataille pour l'emploi. "Il faut s'attaquer à l'emploi des jeunes. Un maire n'est pas là pour dire aux jeunes : "venez par là, on va vous donner un emploi aidé". Un maire n'est pas là pour créer de l'emploi et je veux inverser les curseurs. Un maire est là pour faire en sorte que sa commune soit attractive et que les zones d'activités soient créées pour les entreprises", explique-t-il.
Là où Patrick Lebreton a "failli" selon Alin Guezello, c'est au sujet des entreprises. Ilfaut leur donner "envie" de venir s'installer à Saint-Joseph. "Aujourd'hui, Saint-Joseph est une ville morte après 17 heures. Avec 35.000 habitants, on ne peut plus se contenter d'un ville qui ne vit plus (…). Il y a une attente de la population, celle d'un vrai changement de cap et d'attitude", ajoute-t-il.
"Mon rôle est de proposer la meilleure équipe et le meilleur programme pour donner envie aux gens de voter", souligne-t-il. Pour Alin Guezello, Patrick Lebreton n'a pas tenu sa parole aux électeurs en 2001. "Son slogan était "Un homme un mandat". Depuis ce monsieur a oublié sa promesse. Il aurait pu faire comme Bareigts et Orphé (qui ont laissé leur poste d'adjointe à la mairie de Saint-Denis). Il aurait dû prendre ses responsabilités et démissionner d'un de ses postes", explique-t-il.
"Je ne ferai pas de promesses lors de ma campagne. Mais je dirai la vérité à la population", conclut-il.