Déterminée à me faire entendre par les autorités judiciaires de la Réunion principalement de Mr Eric Tuffery, procureur, et du procureur général Mr Chausserie Laprée, j’ai décidé de passer ce coup de gueule avant de le passer sur les réseaux sociaux et sur les chaînes de télévision nationales.
J’espère que Mr Eric Dupont Moretti que j’ai saisi pour cette affaire et Mr Darmanin consultent Zinfos 974.
Je m’interroge : Est-ce que La Réunion est devenue une république bananière ?
Après des fausses allégations véhiculées par les mandataires de mon ex-mari, quant au fait que je serais moi aussi en liquidation judiciaire ce qui justifierait la vente aux enchères de la maison de Saint-Gilles, je réponds c’est faux.
C’est un partage après divorce prononcé en 1997 qui a mal tourné en cause les loups qui sont entrés dans la bergerie (les mandataires) et la vengeance du serpent à plumes, alias mon ex mari.
Vente aux enchères de ma villa sur Saint-Gilles à trois reprises ! Deux fois annulées !
Aujourd’hui, une certaine SARL prétend avoir acheté ma villa sur Saint-Gilles le 16 février 2018. Mais n’apporte aucune preuve. La dernière licitation a été annulée par la Cour de Cassation.
Je suis harcelée et poursuivie sans répit par les multiples procédures intentées par cette SARL, qui n’a ni droit à agir ni titre, mais pas seulement. Car son gérant a coutume de changer sans cesse le nom de ses sociétés. On se demande bien pourquoi ?
Les plaintes déposées près du Procureur s’entassent mais rien n’est fait pour changer ce harcèlement.
Un arrêt rendu par défaut le 3 mars 2020 par la Cour d’appel de Saint-Denis (Réunion) en faveur de cette SARL inscrit en faux d’écriture publique
J’ai déposé une inscription de faux en écriture publique le 16 novembre 2020 près du Tribunal Judiciaire de Saint- Denis de la Réunion dont le fameux arrêt du 3 mars 2020 fait partie.
Cet arrêt non motivé en droit usant de prétextes fantaisistes n’est pas revêtu de la signature du juge, mais de deux simples initiales qui ne correspondent en rien à la signature de cette juge.
Deux arrêts rendus le 3 mars puis le 6 mars 2020 à trois jours d’intervalles diamétralement opposées avec deux signatures différentes du Juge, au secours !
D’où sort cet arrêt du 3 mars 2020 ?
Pas question de jeter l’opprobre sur la Cour d’appel, je veux juste savoir qui a rédigé cet arrêt pour servir les intérêts de la SARL qui était dos au mur dans cette affaire de licitation de la villa de Saint-Gilles. Elle était acculée car elle ne pouvait pas prouver qu’elle était adjudicataire du bien, alors … un arrêt sur mesure qui tombe plutôt bien, non ?
Il va falloir m’expliquer.
La juge bonne juriste en poste à la Cour pendant près de vingt ans ne pouvait rendre une telle décision aussi insipide, sans la motiver par une base légale. C’est impossible. Les deux actes utilisés comme preuves, le K.Bis et l’acte de signification, sont inscrits également en faux.
L’arrêt du 3 mars 2020 inscrit en faux prononce mon expulsion ! La belle affaire pour la SARL
L’arrêt du 6 mars 2020 motivé en droit précise que la SARL n’a pas apporté la preuve qu’elle était adjudicataire du bien vendu le 16 février 2018, alors elle est déboutée de sa demande d’expulsion sous astreinte.
Panique à bord à la sous-préfecture de Saint-Paul
Je m’interroge sur la panique qui s’est produite au sein de la Sous-préfecture de Saint-Paul le 16 novembre 2020 dès l’information de l’inscription de faux en écriture publique de l’arrêt du 3 mars 2020 déposée au Tribunal Judiciaire de Saint-Denis et transmise à Mr Olivier Tainturier, sous-préfet.
Dès l’annonce, le sous préfet s’est précipité pour m’adresser un courrier inintelligible, reçu le 20 novembre 2020 pour m’informer qu’il autorisait au vu de l’arrêt du 3 mars 2020 (inscrit en faux) les gendarmes à prêter mains fortes à la SARL pour me jeter hors de ma maison.
J’avais fait grief au sous-préfet d’avoir choisi volontairement de privilégier l’arrêt du 3 mars 2020 favorable à SARL et d’écarter celui du 6 mars 2020, pourtant rendu postérieurement, qui interdisait mon expulsion. Mais là ça dépasse tout entendement.
La peur suscitée par cette inscription en faux contre l’arrêt du 3 mars 2020 et la précipitation du sous-préfet à m’envoyer les gendarmes pour sortir de force, est un aveu et une preuve caractérisée qu’ils ont peur et que j’ai été bien inspirée d’inscrire cet arrêt en faux.
Saisie vente de mes meubles et de mon véhicule !
Jusqu’où va aller la SARL et son Gérant puisqu’il pense être intouchable et agit en toute impunité protégé par les hauts dignitaires de l’Etat ?
Un huissier est même venu accompagné d’un serrurier et des gendarmes le vendredi 13 novembre 2020 pour me saisir mes meubles et mon véhicule pour payer les loyers que réclame la SARL. Le comble !
La SARL qui n’a pas acheté ma maison me réclame 2.000 euros de loyer + 3.000 euros d’astreinte soit 5.000 euros par mois. Plutôt sympathique pour quelqu’un qui n’est pas propriétaire !
La Réunion est-elle devenue une arrière base de républiques bananières d’Amérique du Sud ? Je m’interroge
Refus catégorique de sortir
Je refuse de sortir de mon domicile y compris avec les gendarmes, au vu d’un arrêt qui n’est pas authentique suspecté d’être un faux, et d’un autre arrêt celui du 6 mars 2020 qui interdit la SARL de m’expulser car elle ne prouve pas qu’elle a acheté ma maison.
J’en appelle à la sagesse et à la prudence du Procureur Eric Tuffery pour mettre un terme à cette sordide affaire de corruption.
Si vous décidez Monsieur Tuffery de persister à couvrir les exactions de la SARL, vous engagerez votre responsabilité et celle de l’Etat.
J’entamerais une grève de la faim et vous en supporterez le poids des conséquences.
JE NE QUITTERAI PAS MA MAISON !
Madeleine PEDRON