
La voleuse affichée par un commerce saint-gillois est venue réparer son larcin. Les faits se sont produits samedi. En fin de journée, un article manque dans le magasin. Le visionnage des images de surveillance permettent rapidement de démasquer la fautive.
"J'ai fait flouter les yeux et elle était masquée", explique la responsable du magasin, qui a diffusé l'image sur les réseaux sous forme de Wanted. "Le but c'est vraiment de faire comprendre aux gens qu'ils ne peuvent pas voler, qu'il y a une caméra. C'est un avertissement", explique la responsable de la boutique. Une action qui a porté ses fruits, se réjouit-elle : "La jeune fille est venue payer l'article volé et s'excuser". La responsable a donc fait le choix de retirer la publication d'origine.
Rappelons toutefois que selon l'article 226-21 du code pénal, le fait de détourner ces données de leur finalité est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende. Si la personne est identifiable, des plaintes pour "atteinte à la présomption d’innocence" ainsi que pour "atteinte à la vie privée" peuvent s'ajouter.
"J'ai fait flouter les yeux et elle était masquée", explique la responsable du magasin, qui a diffusé l'image sur les réseaux sous forme de Wanted. "Le but c'est vraiment de faire comprendre aux gens qu'ils ne peuvent pas voler, qu'il y a une caméra. C'est un avertissement", explique la responsable de la boutique. Une action qui a porté ses fruits, se réjouit-elle : "La jeune fille est venue payer l'article volé et s'excuser". La responsable a donc fait le choix de retirer la publication d'origine.
Rappelons toutefois que selon l'article 226-21 du code pénal, le fait de détourner ces données de leur finalité est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende. Si la personne est identifiable, des plaintes pour "atteinte à la présomption d’innocence" ainsi que pour "atteinte à la vie privée" peuvent s'ajouter.