Revenir à la rubrique : Faits divers

St-Denis: Son violeur retrouvé 6 ans plus tard

L’adolescente n’a que 16 ans lorsqu’elle rentre de son collège à Sainte-Suzanne et se trouve dans le quartier du Chaudron, le 7 juin 2011. Alors qu’elle marche, elle est surprise par un homme, étranglée, projetée au sol puis violée à l’abri des regards des passants. Elle porte plainte et se fait examiner. Ses blessures ne […]

Ecrit par SH – le mardi 03 mars 2020 à 17H49

L’adolescente n’a que 16 ans lorsqu’elle rentre de son collège à Sainte-Suzanne et se trouve dans le quartier du Chaudron, le 7 juin 2011. Alors qu’elle marche, elle est surprise par un homme, étranglée, projetée au sol puis violée à l’abri des regards des passants. Elle porte plainte et se fait examiner. Ses blessures ne font aucun doute. Comment se remettre d’un tel acte? Qui est cet homme? Deux mois plus tard, ce sont des menaces qu’elle reçoit d’un inconnu, encore une fois, dans la rue: « T’as pas intérêt à dire quoi que ce soit à la police ». Elle ira au commissariat à nouveau. L’homme a la peau mate, musclé… que dire de plus?

C’est une vie difficile que l’adolescente, devenue jeune femme mène jusqu’à cette bonne nouvelle. En 2016 un rapprochement ADN est fait avec un homme arrêté pour d’autres faits. Le casier du quadragénaire contient de nombreuses condamnations pour violences, dont une par la cour d’Assises des mineurs.

Ce mardi devant la chambre d’instruction, il demandait sa mise en liberté avant son procès prévu en octobre. En prison depuis 2017, sa détention touche à sa fin – au mois d’avril. Le procureur s’est dit contre sa mise en liberté et a demandé la prolongation de sa détention jusqu’en octobre. La chambre d’instruction en a décidé de même.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Un incendie se déclare dans un immeuble SIDR à Saint-Denis

Ce mercredi peu avant 19 heures, un appartement situé au 1er étage de la résidence SIDR Camp Jacquot situé à l’angle de la rue Camp Jacquot et général de Gaulle à Saint-Denis a pris feu. Les sapeurs pompiers ont déployé la grande échelle pour accéder à l’appartement en proie aux flammes. Fort heureusement, il n’y a pas de blessés à déplorer. Par mesure de précaution, l’ensemble de l’immeuble a été évacué.

Viol d’une prostituée sur la voie publique : L’auteur présumé ne voulait pas payer

Gabriel*, mis en examen le 25 août 2022 pour un viol commis la veille sur une prostituée rencontrée via les réseaux sociaux, a donné des explications variables sur le non paiement de ses services. Il a été décrit par des experts comme ayant des difficultés relationnelles mais sans dangerosité criminelle. Malgré sa demande de libération, la chambre de l’instruction a maintenu sa détention, suivant l’avis du parquet général qui craint qu’il exerce des pressions sur la victime.

Trafic de stupéfiants en bande organisée : 45 kilos de zamal péi retrouvés au domicile d’un cultivateur

Jean-Cédric L., 45 ans, a été arrêté pour avoir cultivé 45 kg de cannabis chez lui, impliqué dans un trafic entre l’Île Maurice et La Réunion. Après un an en détention provisoire, il a été placé sous contrôle judiciaire, mais reste sous les verrous après un appel du parquet. Le réseau d’envergure bien huilé révèle des envois fréquents et volumineux vers Maurice.

Soupçons d’emplois illégaux : Didier Robert, Alfred Ablancourt et Ismaïl Aboudou se défendent à la barre

La deuxième journée du procès des emplois de cabinet de la Région a conforté la défense dans sa contestation de la partialité de l’enquête menée par l’OCLCIFF : les témoins auditionnés ont en effet tous confirmé l’effectivité des missions effectuées par les ex-conseillers techniques Alfred Ablancourt et Ismaïl Aboudou, tandis que le troisième prévenu appelé à la barre, l’ancien président Didier Robert, a martelé sa légitimité, en tant que chef de l’administration, à choisir lui-même les personnes embauchées dans son cabinet. Enfin, le DGS d’alors Mohamed Ahmed, convoqué comme témoin, a souligné qu’un arrêté relatif à l’organisation administrative de la Région avait rattaché certains services au cabinet, sans que cela ne soit contesté ni par le contrôle de la légalité, ni par le tribunal administratif.