Une convention pour 119 emplois d’avenir a été signée hier après-midi entre le Département et la FEHAP (Fédération des Etablissements Hospitaliers et d'Aide à la Personne) au siège de l’ASFA (Assiociation Saint-François d’Assises) à Saint-Denis.
119 étudiants diplômés d’un bac +2 ou d’un bac +3 ont été retenus pour se former sur 3 ans aux métiers médico-sociaux, notamment dans l’accompagnement du vieillissement de la population, l’animation et la prise en charge des personnes en perte d’autonomie.
"Les jeunes ne sont pas assez au courant des débouchés qu’il existe dans ce domaine, a déclaré Nassimah Dindar, ils se tournent vers des filières classiques souvent saturées. Les établissements médico-sociaux sont pourvoyeurs d’emplois". La présidente du Conseil Général estime que cette convention est "à double détente, permettant à la fois aux diplômés de se professionnaliser et de faire œuvre utile à la société".
Christian Bonneau, délégué régional de la FEHAP OI a tenu à remercier le Conseil Général pour son "implication constante et son financement résiduel des soins". Il rappelle que 250 à 300 emplois sont déjà créés tous les ans. Parmi ces 119 emplois d'avenir supplémentaires, "au moins 60% d’entre eux intégreront le personnel permanent à l’issue de leur formation".
119 étudiants diplômés d’un bac +2 ou d’un bac +3 ont été retenus pour se former sur 3 ans aux métiers médico-sociaux, notamment dans l’accompagnement du vieillissement de la population, l’animation et la prise en charge des personnes en perte d’autonomie.
"Les jeunes ne sont pas assez au courant des débouchés qu’il existe dans ce domaine, a déclaré Nassimah Dindar, ils se tournent vers des filières classiques souvent saturées. Les établissements médico-sociaux sont pourvoyeurs d’emplois". La présidente du Conseil Général estime que cette convention est "à double détente, permettant à la fois aux diplômés de se professionnaliser et de faire œuvre utile à la société".
Christian Bonneau, délégué régional de la FEHAP OI a tenu à remercier le Conseil Général pour son "implication constante et son financement résiduel des soins". Il rappelle que 250 à 300 emplois sont déjà créés tous les ans. Parmi ces 119 emplois d'avenir supplémentaires, "au moins 60% d’entre eux intégreront le personnel permanent à l’issue de leur formation".