
Après cinq jours de grève des employés du Centre communal d'action sociale de Saint-Denis, une délégation de grévistes a été reçue à la mairie par le directeur de cabinet du maire, Joël Perigaud, et l'adjoint délégué au personnel, Jean-François Hoareau.
Au terme de la réunion, les délégués syndicaux ont annoncé que la municipalité serait prête "à aller au delà du protocole signé jusque là", explique Patrick Jayme, secrétaire général UNSA Territoriaux, qui avait appelé avec FO à la grève illimitée.
Les syndicats réclament plus de "transparence" sur les primes, salaires, promotions et titularisations, et la revalorisation salariale de 1710 agents communaux de 90 à 150 euros. "Une trêve a été actée", explique Patrick Jayme, qui signale que les discussions reprendront "le 5 février prochain". En attendant, les employés grévistes ont accepté d'arrêter les blocages, qui perturbent les services de la ville de Saint-Denis et notamment les cantines scolaires.
Mais les grévistes restent mobilisés dans l'attente d'un accord. "Il faut trouver une porte de sortie. Nous restons vigilants. Ils se sont engagés à améliorer le protocole mais s'ils ne respectent pas leur parole, nous reprendront le mouvement", prévent Patrick Jayme.
Au terme de la réunion, les délégués syndicaux ont annoncé que la municipalité serait prête "à aller au delà du protocole signé jusque là", explique Patrick Jayme, secrétaire général UNSA Territoriaux, qui avait appelé avec FO à la grève illimitée.
Les syndicats réclament plus de "transparence" sur les primes, salaires, promotions et titularisations, et la revalorisation salariale de 1710 agents communaux de 90 à 150 euros. "Une trêve a été actée", explique Patrick Jayme, qui signale que les discussions reprendront "le 5 février prochain". En attendant, les employés grévistes ont accepté d'arrêter les blocages, qui perturbent les services de la ville de Saint-Denis et notamment les cantines scolaires.
Mais les grévistes restent mobilisés dans l'attente d'un accord. "Il faut trouver une porte de sortie. Nous restons vigilants. Ils se sont engagés à améliorer le protocole mais s'ils ne respectent pas leur parole, nous reprendront le mouvement", prévent Patrick Jayme.