Le maire de Saint-Denis, Gilbert Annette, a convié la presse ce mercredi 24 janvier 2017 à l'ancien Hôtel de ville pour lui adresser ses traditionnels vœux. L'occasion pour le premier édile dionysien de dresser le bilan de l'année précédente et de dévoiler ses projets à venir. Pour 2018, l'accent a été mis sur le bénévolat par la municipalité dionysienne.
En effet, pour Gilbert Annette, les bénévoles participent "activement" au bien-vivre ensemble de la société réunionnaise et notamment à Saint-Denis. Selon le maire de la plus grande ville d'Outremer, c'est grâce à leur travail que le chef-lieu possède le taux de délinquance "le moins élevé des 20 villes françaises de plus de 150 000 habitants".
Un budget "participatif" géré par les conseillers de secteurs
Outre l'hommage rendu cette année aux bénévoles de la commune, et afin de "renforcer la démocratie participative", un budget "participatif" sera décidé par les conseils de quartiers, constitués de membres tirés au sort. Un budget qui servira "à réaliser des équipements de proximité et de la vie au quotidien dans les quartiers", explique Gilbert Annette.
Interrogé par un de nos confrères sur son choix de soutenir Emmanuel Macron lors de la dernière présidentielle, Gilbert Annette assume. S'il indique que l'actuel locataire de l'Elysée n'était pas son "candidat de cœur" ("car je suis socialiste" dit-il), le patron "de l'ombre" du PS local estime qu'il a eu "raison" : "j'ai bien fait d'avoir raison (…) Ce qui a été fait ces derniers mois me donne satisfaction parce que les réformes s'accélèrent", termine-t-il.
En effet, pour Gilbert Annette, les bénévoles participent "activement" au bien-vivre ensemble de la société réunionnaise et notamment à Saint-Denis. Selon le maire de la plus grande ville d'Outremer, c'est grâce à leur travail que le chef-lieu possède le taux de délinquance "le moins élevé des 20 villes françaises de plus de 150 000 habitants".
Un budget "participatif" géré par les conseillers de secteurs
Outre l'hommage rendu cette année aux bénévoles de la commune, et afin de "renforcer la démocratie participative", un budget "participatif" sera décidé par les conseils de quartiers, constitués de membres tirés au sort. Un budget qui servira "à réaliser des équipements de proximité et de la vie au quotidien dans les quartiers", explique Gilbert Annette.
Interrogé par un de nos confrères sur son choix de soutenir Emmanuel Macron lors de la dernière présidentielle, Gilbert Annette assume. S'il indique que l'actuel locataire de l'Elysée n'était pas son "candidat de cœur" ("car je suis socialiste" dit-il), le patron "de l'ombre" du PS local estime qu'il a eu "raison" : "j'ai bien fait d'avoir raison (…) Ce qui a été fait ces derniers mois me donne satisfaction parce que les réformes s'accélèrent", termine-t-il.