Ce jeudi matin, les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoit sont à nouveau présents pour l'entrée des élèves au lycée Patu de Rosemont, afin de parer à tout incident éventuel.
Les sacs sont systématiquement fouillés par les 13 militaires engagés sur cette opération de sécurisation. Entre 6h30 et 8h, 10 bus et 90 lycéens ont été contrôlés. Cinq goupilles ont été confisquées alors que le nom des propriétaires a été signalé à la direction de l'établissement.
On se souvient que ce lundi, un différend entre lycéens, dont certains sont originaires de la ville de Saint-Benoît et d'autres de Saint-André, s'est soldé par le caillassage d'un bus scolaire par une trentaine d'individus.
Ce mardi, le ton est monté d'un cran lors d'une rixe entre bandes rivales au sein même du lycée Patu-de-Rosemont.
Six mineurs et un majeur avaient été interpellés. Les meneurs ayant participé à ces violences ont fait l’objet d’une mesure d’exclusion de 8 jours ainsi que d'une sanction pénale. Cette bagarre n'était rien d'autre qu'une réplique du caillassage du bus scolaire survenu la veille.
Depuis hier mercredi, et afin de parer à une éventuelle nouvelle flambée de violences, les gendarmes sont donc sur les lieux.
Les sacs sont systématiquement fouillés par les 13 militaires engagés sur cette opération de sécurisation. Entre 6h30 et 8h, 10 bus et 90 lycéens ont été contrôlés. Cinq goupilles ont été confisquées alors que le nom des propriétaires a été signalé à la direction de l'établissement.
On se souvient que ce lundi, un différend entre lycéens, dont certains sont originaires de la ville de Saint-Benoît et d'autres de Saint-André, s'est soldé par le caillassage d'un bus scolaire par une trentaine d'individus.
Ce mardi, le ton est monté d'un cran lors d'une rixe entre bandes rivales au sein même du lycée Patu-de-Rosemont.
Six mineurs et un majeur avaient été interpellés. Les meneurs ayant participé à ces violences ont fait l’objet d’une mesure d’exclusion de 8 jours ainsi que d'une sanction pénale. Cette bagarre n'était rien d'autre qu'une réplique du caillassage du bus scolaire survenu la veille.
Depuis hier mercredi, et afin de parer à une éventuelle nouvelle flambée de violences, les gendarmes sont donc sur les lieux.