
Le temple hindou Pandialé de Ravine creuse à Saint-André était visité dans la nuit du 8 mai par une ou plusieurs personnes malintentionnées.
Pour rappel, le temple était en travaux depuis presque trois mois au moment des faits afin de le configurer aux normes en matière d’accessibilité. Les travaux sur le carrelage, l’étanchéité, la peinture et la plomberie étaient en bonne voie.
Les divinités avaient été déplacées le matin même de l'incendie dans un local dédié à la déesse Karly.
L'enquête a mis en lumière le fait qu'aucun dispositif électrique n’aurait permis la survenue d'un court-circuit. Une mise à feu avec de l’essence semblait privilégiée, selon Frédéric Carmegom, le trésorier de l’association qui gère le temple, selon un premier constat établi par la police nationale.
Un suspect avait d'ailleurs été interpellé puis relâché dans le cadre d'une enquête confiée aux policiers de Saint-André.
Vers 1H du matin, les membres du bureau du temple avaient été appelés en urgence alors qu’un incendie ravageait le lieu de culte. P lusieurs divinités avaient été brulées et deux divinités volées.
La piste criminelle est toujours envisagée, sur fond de différend entre deux familles fidèles du temple qui s'accusent mutuellement.
Ce mercredi, une des statues endommagées a été retrouvée dans le jardin d'une particulière. Celle-ci devrait être prochainement entendue afin de déterminer si les circonstances de ces faits sont en lien avec l'affaire.
La piste criminelle est toujours envisagée, sur fond de différend entre deux familles fidèles du temple qui s'accusent mutuellement.
Ce mercredi, une des statues endommagées a été retrouvée dans le jardin d'une particulière. Celle-ci devrait être prochainement entendue afin de déterminer si les circonstances de ces faits sont en lien avec l'affaire.
Pour rappel, le temple était en travaux depuis presque trois mois au moment des faits afin de le configurer aux normes en matière d’accessibilité. Les travaux sur le carrelage, l’étanchéité, la peinture et la plomberie étaient en bonne voie.
Les divinités avaient été déplacées le matin même de l'incendie dans un local dédié à la déesse Karly.
L'enquête a mis en lumière le fait qu'aucun dispositif électrique n’aurait permis la survenue d'un court-circuit. Une mise à feu avec de l’essence semblait privilégiée, selon Frédéric Carmegom, le trésorier de l’association qui gère le temple, selon un premier constat établi par la police nationale.
Un suspect avait d'ailleurs été interpellé puis relâché dans le cadre d'une enquête confiée aux policiers de Saint-André.