
Ne supportant pas la séparation avec son ancienne compagne, la mère de ses enfants, l'homme a pointé un pistolet sur la tempe de cette dernière... alors qu'il était venu lui (re)déclarer sa flamme.
La scène s'étant déroulée dans la nuit de vendredi à samedi, tout le quartier a été réveillé par cette drôle de manière de prouver son amour. Il a notamment déclaré : "tout ce que je demande, c'est que quand j'aime, que l'on m'aime en retour".
Bien que marié religieusement, pour la famille de la jeune femme, cette histoire d'amour était vouée à l'échec. L'agresseur était d'ores et déjà auteur de violences conjugales.
L'homme a écopé de trois ans de prison, dont un an avec sursis. Il est également soumis à une mise à l'épreuve avec obligation de ne plus entrer en contact avec la victime. Il doit trouver un travail et ne plus détenir d'arme.
Alors que le jugement était prononcé, l'agresseur a aggravé son cas en déclarant, en arabe, à son ancienne compagne: "ça va se payer un jour!". Ces propos ont été pris en compte et ajoutés au procès.
La scène s'étant déroulée dans la nuit de vendredi à samedi, tout le quartier a été réveillé par cette drôle de manière de prouver son amour. Il a notamment déclaré : "tout ce que je demande, c'est que quand j'aime, que l'on m'aime en retour".
Bien que marié religieusement, pour la famille de la jeune femme, cette histoire d'amour était vouée à l'échec. L'agresseur était d'ores et déjà auteur de violences conjugales.
L'homme a écopé de trois ans de prison, dont un an avec sursis. Il est également soumis à une mise à l'épreuve avec obligation de ne plus entrer en contact avec la victime. Il doit trouver un travail et ne plus détenir d'arme.
Alors que le jugement était prononcé, l'agresseur a aggravé son cas en déclarant, en arabe, à son ancienne compagne: "ça va se payer un jour!". Ces propos ont été pris en compte et ajoutés au procès.